Kiri, me voici! [PV : Heishi-kun]

Invité

Il y a environ deux jours de cela, le Kazekage m'avait donné une nouvelle mission de rang C. De plus, cette dernière nécessitait de sortir de Suna. J'étais heureuse, je pouvais enfin me sécher, et arrêter de voir cette pluie qui minait tous les esprits rebelles (ou non!) de la ville. Je devais en effet me rendre à Kiri pour délivrer un message à une famille riche qui se divisait en deux branches, l'une Sunajin et l'autre Kirijin. C'était l'ocasion réver pour changer d'air. J'étais donc rentré chez moi assez rapidement, et avais fait mes maigres bagages à la vitesse de la lumière : mon sabre, mes rouleaux, une tenue de rechange et une boîte pour ninjutsu médical, ce qui était le strict nécessaire pour ninja. J'ajoutais aussi des shurikens et des kunais, ainsi que quelques parchemins explosifs. Je ne rentrerais que dans deux semaines, car je voulais en profiter pour faire de la visite. Attittude pas très ninja, mais le Kazekage m'en avait donné l'autorisation, ainsi que Neji, qui voyait bien que j'en avais par-dessus la tête de la pluie. Euphorique à cette idée, je courus jusqu'à la porte, où je présentai un laissez-passez au ninja de garde. Il reggarda vaguement, et je sortis sans encombre.Devant moi se dressait le désert, fier, jaune, mais humide. Suna n'était plus le pays du sable, mais de la boue! Je soupirais une fois de plus, et me mis en marche. J'aurais pu en effet courir, mais je n'en avais pas envie, et si je ne connaissais pas le contenu du message, je savais qu'il n'était pas urgent. Bien sûr, je ne devais pas arriver là-bas dans une semaine, mais un à deux jours de voyages seraient acceptables. Enfin, plutôt un que deux.

J'étais donc arrivée à Kiri après seize heures de voyage. Je n'étais pas fatiguée, juste un peu lasse. En réalité, j'étais surtout émerveillée : je n'étais pas sortie de Suna depuis un bon bout de temps, et les paysages verdoyants me changaient nettement du sable et de (plus récemment) la boue. J'entrais donc dans la ville, qui me semblait si différente de Suna. Les rues sont serrés les unes contre les autres, il ya peu d'espace pour circuler. De plus, un brouillard à couper au couteau est présent à tous les endroits de la ville, qui en paraissait presque fantome. C'était légèrement lugubre et un pee glauque, et je n'appréciais que moyennement l'air humide qui règnait. Tout de suite après mon arrivée à Kiri, je m'étais rendue à l'adresse indiquée. Les gens m'accueillir froidement, et après que j'eu délivré le rouleau, ils me firent comprendre que je n'étais pas la bienvenue. Je m'en fus donc, et cherchais un endroit pour dormir cette nuit. Je fis quelques fois le toutde la ville, vant de trouver ue auberge qui me convienne. Je payais ma chambre d'avance, et fis monter mon repas à l'étage. Je passais donc ma nuit seule dans cette ville inconnue, bien décidée à rester tout de même la semaine prévue. Ma soif d'aventure c'était tarie, mais pas au point de renoncer à mes explorations...

C'était donc deux jours après mon départ. Je mettais levée forbue et courbaturée, même les lits étaient différents de ceux de Suna. J'eprtais mes afffaires hors de la chambre, et entrepris de visiter la ville. A mon grand regret, les bâtisses n'étaien que peu visibles, à cause du brouillard ambiant. Comment les Kirijins pouvaient-ils vivre dans ce smog permanent? Je soneais tristement à mon village à ses pluies...

Alors que je marchais dans une rue qui semblait un marché, quelques personnes m'interpèlerent, me demandant d'acheter leurs produits, ou au contraire de venre l'un de mes quipements. Je refusais catégoriquement chaque offre, et devais repousser chaque assaillant avec plus de hargne chaque fois. Kiri éait réputée pour son taux élevé de criminalité, ainsi que de pauvreté. Ce dernier point me paraissait clair, étant donné l'insistance avec laquelle les marchands insistaient pour vendre leurs produits, mais le fort taux de criminaité ne m'avait pas sauté aux yeux dès mon arrivée. Ce n'était que quelques heures après mon arrivée sur le marché de Kiri que je le ressentis.

Une bande de jeunes d'une vingtaine d'année était rassemblée dans une ruelle, plus sinueuse et étroite que les autres. J'entendis des éclats de voix, dont une féminine, et vis les regards des passants qui se détournaient. J'étais scandalisé, et ne tardais pas à m'approcher. En effet, une jeune femme aux cheveux d'un brun clair, et dont je ne pus voir les yeux, se débattaient sous les mains de jeunes hommes. Je voulais les interpeller, et leur sommer d'arrêter, quand je me rendis compte que, si à Suna mes pétales de feu avaient fonctionné contre des adolescents tapageurs, ici le problème était tout autre. En effet, si j'agressais ces habitants de Kiri, il était possible que le village déclara la guerre à Suna, ou tout du moins exige réparation. Hors, nous avions assez de problèmes avec Ame et l'Akastuki. Mais si je passais mon chemin, je m'en voudrais sans doute beaucoup plus. Je pris donc ma décision :

- Eh! Vous, là! Laissez la tranquille!

- Dis poupée, tu es jalouse, tu veux échanger?

Grrrr... Un des garçons lacha la jeune femme, qui s'enfuit. Elle me remercia du regard, et je remarquais ses yeux : l'un était pers, l'autre bleu. Cétait sans doute ce qui les avait attiré... Les garçons m'entourèrent, et je remarquais que je mettais imperceptibement éloignée de l'entrée de la ruelle, et qu'ils m'entouraient. Avec un souir, je sortis mon sabre.

- Tu te défends? C'est pas grave, on t'aura!

- ...

Tout du moins à l'usure. Courbaturée et moulue comme je l'étais, je ne serais pas à mon total potentiel, et je refusais d'user du chakra, serais-ce pour les effrayer. Je m'apprêter donc à me battre à l'arme blanche, quand un homme apparut à mes côtés, après avoir sauté de l'entre de la ruelle...

Invité

Je passais par là au gré de mes envies afin de prendre un peu l'air dans cet épais brouillard qui est notre univers.
Lorsque en passant au habord d'une ruelle j'entendis quelqu'un hurlé:

- Eh! Vous, là! Laissez la tranquille!

Je compris tout de suite que quelqu'un étais encore en train de se faire agressé, je n'y ai pas réfléchis plus d'une fois, je me suis mis à courir dans la direction de cet appel. Je pris la première ruelle et vis alors et à ce moment une jeune femme (qui de loin sembler être très belle. Je me dis alors: vivement que je m'approche afin de m'émerveiller devant sa pure beauté). Je sautais aussi haut et fort que je pouvais pour atteindre sont coté le plus rapidement possible et lui porter secours. J'atteris juste à côté d'elle et me mis tout de suite en garde.

C'est alors que, je remarquais que nous étions entourés d'un petit groupe de jeunes malfrats. Je me redressaits doucement en jetant un coup d'oeil à cette belle créature qui est à mon côté, je vis alors qu'elle semblait être exténué et qu'elle était ninja au village de suna.

Je m'adressais directement au jeune sans détour ni réflexion:

_ Bon les gars c'est quoi le souci maintenant? En plus de s'attaquer aux femmes du village vous commencez à vous attaquez à des ninjas d'autre village?

_ Heishi! Mec écarte toi ou on te fais la peau une fois pour toute. Elle est pour nous celle là!!!

Je ne pus m'empêcher de rire au éclat. Je m'avançais alors lentement vers celui qui venait de parler pour encore une fois lui expliquer ma façon de penser. Et le frappait de mon droit en plein visage. Je me retourne alors pour observer les autres et leur dire par la même occasion:

_ Le prochain qui s'approche ou dis des méchanssetés à cette belle femme apprendras a ces dépends que je l'interdis formellement!

Sur ces mots je me retourne un peu vers elle pour mieux pouvoir la contempler et lui demande:

_Encore besoin d'un petit coup de main? Ou préfères-tu que je te raccompagne quelque part?

Invité

Ah la la... Dans quelles embrouilles m'étais-je encore fourrée? Le jeune homme -plutôt mignon- qui venait d'arriver était un Kirijin. Il avait lui aussi un sabre, quoique plus petit que le mien. Sa posture était assez défensive, et je ne pus m'empêcher de voir à quel point ces mouvements étaient fluides et gracieux. Son saut était parfait, surtout u côté de sa réception. Je le regardais, et pointai mon sabre vers l'avant au même moment où il sortit le sien. Je lui souris imperceptiblement, et m'apprêtai à attaquer les voyous. Avec une aide Kirijin, non seulement je pouvais attaquer directement, voir même utiliser une technique Katon. Malheureusement (ou heureusement?) pour mes projets, le jeune homme avait un autre plan :

- Bon, les gars c'est quoi le souci maintenant? En plus de s'attaquer aux femmes du village vous commencez à vous attaquez à des ninjas des autres villages?

- Heishi! Mec écarte toi ou on te fais la peau une fois pour toute. Elle est pour nous celle là!!!

J'avais envie de leur crier que je n'étais à personne, encore moins à eux. Les seules personnes qui pouvaient prétendre me posséder étaient Neji Hyuga, Sabaku no Gaara et le Kazekage. J'allais donc protester, mais le kirijin ne m'en laissa pas le temps, et éclata d'un rire sans joie en savançant vers le leader :

- Le prochain qui s'approche ou dis des méchanssetés à cette belle femme apprendras a ces dépends que je l'interdis formellement!

Oh la la... Quel gentil petit héros! Je lui donnais une vingtaine d'année, mais plus de courage et de gentillesse que les autres habitants de Kiri. Et en plus il avait la tchatche, qui peut être une qualité autant qu'un défaut. A ma grande surprise, il se tourna vers moi :

- Encore besoin d'un petit coup de main? Ou préfères-tu que je te raccompagne quelque part?

J'allais répliquer, quand le chef de la bande fonça sur le Kirijin. Rapidement, je contournais ce dernier pour frapper du plat de ma lame le ventre de l'agresseur, qui se tordit de douleur. Il eut un regard assassin vers mo, que je ne relevais pas. Les petites frappes dans son genre ça n'a aucune importance. Je me tournais vers mon saueur en répondant :

- J'aurais bien aimé m'occuper d'eux, mais ça va... S vous avez une idée d'un endroit où je pourrais dormir pas cher? Ah, au fait, moi c'est Harue, Harue Ine. Enchantée et merci.

Invité

En la voyant bondir dans ma direction je me suis dis qu'elle voulais me tuer, mais quand j'ai entendu le leader de la bande s'ecroulé sous son coups j'ai compris que je venait de me faire une alliée.

_Un endroit où dormir pas chère? Disont que je connait une très bonne adresse mais je ne suis pas sur que vous allez acceptée mais bon! Qui ne tente rien, n'a rien!

C'est alors que je sentis du mouvement dans mon dos, alors que je me retournais avec grasse, je frappais le premier qui arrivais sur ma gauche et qui en touchant le sol tombe dans les pomme. Le second sort un kunai ce qui me fais réagir verbalement:

_Mec! T'es sérieux là? Pourquoi voudrais-tu t'attaqué a deux ninja armée d'un sabre chacun juste avec un kunai? Tu sais que la seul chose que tu risque c'est de mourir? Et vous autres, je vous conseille de gentillement rentre chez vous de bien vous taire et surtout je ne veux plus vous voir. Au risque que je vous tue, c'est vu?

A ce moment précis le groupe compris que je ne plaisantais pas, chacun s'enfut, sauf quatre membre, car cette chère Harue Ine en avait fais tomber deux de plus.

_Excuse moi Harue je ne me suis toujours pas présenté. Je suis Heishi de la branche sombre des Kenishi.
Alors veux tu toujours que je te raccompagne? Dans le cas d'un oui, suis moi. Je vais quand même te poser une question. Que vient tu faire dans notre village? toi une ninja de suna? Veux nous déclarer la guerre ouvertement?

Invité

Waouw! J'étais surprise. Le jeune homme semblait avoir déjà eu afaire avec la bande de déliquants, et il avait un pouvoir énorme sur eux. De plus, il avait un charisme certain, et je le regardai quasiment pendant tout le combat. Fin et musclé, il respirait la force par tous les pores de sa peau, tout comme l'assurance et le courage. D'ailleurs les Habitants de Kiri, ninjas ou non, était tous très courageux. A moins que ça ne soit de la témérité? Un jeune voulut nous attaquer avec un kunai, et le Kirijin kui rit au nez. Pendant ce temps, j'assomais deux garçons qui avaient continué à tourner autour de moi. Je n'avais pas frand chose à faire, juste à placer mon sabre encore mes adversaires et moi au bon moment. Peu doués au corp-à-corps, ils n'étaient pas non plus très rapides. Cette graine de délinquant n'était décidemment pas fute-fute. Après quelques paroles échangés avec le mystérieux inconnu, le groupe s'enfuit très rapidement, à part les quatre membres KO, qui ne s'étaient tojours pas relevés.
- Excuse moi Harue je ne me suis toujours pas présenté. Je suis Heishi de la branche sombre des Kenishi. Alors veux tu toujours que je te raccompagne? Dans le cas d'un oui, suis moi. Je vais quand même te poser une question. Que vient tu faire dans notre village? toi une ninja de suna? Veux nous déclarer la guerre ouvertement?
- Je veux bien, oui. Je ne connais pas encore bien Kiri. Ce que je vins faire ici? Mission officiele du Kazeage. Mais si tu ne me crois pas, libre à toi de m'attaquer. En tout cas, je ne veux pas la guerre, mon village a déjà assez à faire avec ces salauds d'Ame.
Pour lui prouver mes dires, je sortis donc mes papiers officiels. Je hochais la tête, et repris :
- Explique moi un peu comment le noble village de Kiri en est arrivé là...
Cette question, je me la posais depuis mon arrivée. Le village était en pleine décadence, personne ou quasi ne faisait rien pour changer... Après qu'il m'eut répondu, je repris mes interrogations. Ces questions n'étaient pas les seules, mais elles me semblaient les plus urgentes. Je n'avais pas envie de tomber dans un guet-apens...
- Pourquoi es-tu venu à mon secours? Qu'est-ce que la branche sombre des Kenishis?
Je parlais ainsi avec lui, et le suivais sans rechigner...

Invité

Après ma question elle sortis ces papiers belle et bien en règle mais très dangeureux ici. je lui dis pour l'avertir

_Bien, bien, range tes papiers avant de te les faires voler, voir tuer pou qu'on te les prennes!!!

Je me mis en marche en direction de mes quartiers un peu plus haut. Je ne pouvais quitter cette femme et sa silhouette fine mais vraiment très musculé et si belle. Elle étais à mon côté à me posé des questions:

_Explique moi un peu comment le noble village de Kiri en est arrivé là...

Je ne sud que répondre à sa question tellement je ne mis attendais pas. Tout le monde avait sa téorie et tout le monde avait entendu parlé de rumeur mais personne n'en étais sur en dehors de l'élite de kiri comment lui expliqué ceci sans devoilé aucun secrets sur nous:

Et bien voyont, pour tout te dire et pour être honnete avec toi, dans le village beaucoups de rumeurs circules même aux sain de notre famille de shinobi que nous formons tous dans le village. Personnes ne sais vraiment de quoi cela vient en dehors de l'élite de kiri.

C'est bizard je la voyait comme plonger dans ces réfléxions comme si elle avait une idée derrière la tete mais la qu'elle?

C'est au même moment que sont venu les deux questions aux qu'elle je m'attendais depuis le debut mais ne posais pas pour je ne sais trop qu'elle raison:

_Pourquoi es-tu venu à mon secours? Qu'est-ce que la branche sombre des Kenishi?

_ Je suis venu à ton secours parce que c'est mon devoir de ninja et ensuite parce que j'ai une âme d'Homme et que l'homme nh peux laissé une femme en danger sans l'aider! Et pour ce qui est de la branche sombre des Kenishi, disont que c'est une trop longue histoire à la qu'elle je n'aime pas trop penser, mais que je n'ai pas le choix de dire car l'on m'a apris a me présenter ainsi et non autrement. Qu'il en soit ainsi de ma vie.

Apres cela nous étions arrivés chez moi. Un petit appartement: cuisine, salon avec chambre et salle de bain.

_ Voila ce que je te propose. Je t'heberge autant de temps que tu le veux. Je ne te demande aucun loyer sauf une conversation sur ton village car je reve d'aller a suna mais pour le moment et par mesure de sécurité je ne peux quitter le village. cela te convient-il?

Apres ça, je m'installais a table, afin de répondre à ses questions et qu'elle réponde au mienne. Il n'étais que 10h du matin, nous avions le temps avant de devoir manger quoi que ce soit, ou même que je ne soit appeler pour une mission d'une quelconque importance.

Invité

Après que je lui eu montrer mes papiers, il me regarda étrangement, et m'expliqua qu'à Kiri, en raison du taux de criminalité élevé, je devais éviter de les montrer au premier venu. Je risquais en effet de me les faire voler, et il était possible que je me fasse tuer dans la tentative. J'aurais voulu lui demander pourquoi lui ne m'attaquait pas, que ce soit pour voler es papiers ou non, mais je m'abstins. Provoquer les inconnus, qui plus est d'un autre village n'est pas conseillé. Il se mis en route peu après, et je le suivi, pourtant toujours sur mes gardes : il pourrait me tendre une embuscade... Je restais perdue dans mes penses, jusqu'au moment où je n'y tins plus. A ma question sur la déchéance de Kiri, il me répondit de façon obscure... Lui même de devait ne rien en savoir, ou alors tous les habitants du village avaient leur propre opinion, chacun ayant un peu raison, et un peu tort... Je lui demandais aussi les raisons de son sauvetage et des explications sur son étrange nom, mai là non plus, ses explications ne me satisfaisèrent qu'à moitié. Je me promis de l'interroger plus en détail si j'en avais l'occasion.
Nous marchâmes ainsi jusqu'à un immeuble qui faisait triste mine. Je faisais une grimace imperceptible, essayant de ne pas me faire remarquer. Il me fis entrer dans un appartement petit mais bien aménagé. Après m'avoir fait faire un court tour du propriétaire, il s'installa à une table, et m'invita à le rejoindre. Il prit ensuite la parole :
- Voila ce que je te propose. Je t'héberge autant de temps que tu le veux. Je ne te demande aucun loyer sauf une conversation sur ton village car je rêve d'aller a Suna mais pour le moment et par mesure de sécurité je ne peux quitter le village. Cela te convient-il?
Je méditais un instant ses paroles. Je comptais bien rester une semaine, et la nourriture devait coûter une petite fortune à Kiri. Je baissais la tête, prête à refuser, quand j'eus une idée :
- C'est d'accord. Mais je te donne aussi des conditions : je paye ma part de nourriture, et une fois mon séjour terminer, je t'héberge chez moi, si tu as la possibilité de partir. Sinon, je reviendrais tous les mois jusqu'à ce que tu m'accompagnes.
Je le laissais avaler mes paroles, mais sans lui laisser le temps de répliquer, je repris :
- De plus, j'aimerais t'aider si tu as quelque chose à faire qui n'inclut pas Kiri et tes missions. Sauf si ton gouvernement accepte que j'en fasse une avec toi.
Je me tus, et regardais autour de mo discrètement, cherchant à cerner le mystérieux jeune homme qui était devant par rapport à sa décoration. Il me répondit, et j'enchaînais :
- Bon, alors je commence et te pose une question. Je vais être gentille : quel âge as-tu?
Je lui donnais une vingtaine d'année, mais c'était sans doute faux...

Invité

_Mon age? Mouhaha... Si jarrive bien a lire ce que tu pense dans tes yeux et bien je dirais que tu me donne une vingtaine d'année je me trompe? Et bien pour te dire la veriter je vient seulement d'atteindre ma majorité. J'accepte aussi ta condition. Mais...

Avant de continue ma phrase je reflechi mais ne m'enpeche de poser cette question.

_J'accepte que tu participe à la nouriture mais en contre partie ce soir tu vient diner avec moi!?

Sur ce je la laissai méditer ces paroles et ma demande.

_Bien je vais aller chercher des Ramen pour ce midi!!!

Invité

Waouw... Doué le jeune homme! A moins que ce ne soient les Kirijins en général? Il avait compris tout de suite mon regard. Pourtant, je passais, à Suna, pour une fille froide et plutôt inexpressive. Pourtant, il avait lu dans mes yeux ce que je pensais réellement, et je ne pouvais que m'en étonner. Mais cette surprise ne fut pas la seule : il avait accepter mes conditions sans rechigner. Voilà chose étrange pour un homme célibataire vivant seul^^ L'esprit de contradiction n'avait pas frapper -pour une fois!-. Malheureusement, je criais trop vite victoire. Whaaaaaat?! Il y avait un "mais..." bien entendu. C'aurait été trop beau pour être vrai, sinon. Je soupirais discrètement, et le laissais continuer.

- J'accepte que tu participes à la nourriture, en contre-partie ce soir tu viens dîner avec moi?

Je rougis comme une pivoine (ou comme une tomate, c'est selon). Je ne m'attendais certes pas à cette condition là!

- Euhh... Et bien,...pourquoi pas? Tu pourrais me faire visiter Kiri par la même occasion...

Il sourit de bon coeur, et je me rendis compte que ce visage illuminé était un brin trop kawai pour mon coeur. Je devais me ressaisir, et vite, avant qu'il ne sente ma gêne. Je fis le vide en moi, et il ne remarqua pas mon trouble. Et naturellement, je lui rendis son sourire par un des miens, le plus beau (j'espère!) que je puisse faire.

-Bien! Je vais aller chercher des Ramens pour ce midi!!!

J'acquiessai en silence. J'avais vraiment faim, je le sentais. C'est d'ailleurs ce moment très mal choisis pour faire ce genre de bruits, que mon ventre sous-alimenté choisis pour gargouiller avec une force surprenante. Zut! Je pestais intèrieurement, et baissais les yeux, honteuse, et à nouveau rouge. Je relevais doucement la tête en remettant mes mèches rebelles en place, un peu gênée de voir la tête de mon hôte, mais à ma grande surprise, celui-ci...

Invité

En la voyant rougir, je ne pus m'empecher de rire un peu et de lui dire:

_ Pourquoi tu deviens toute rouge, je ne comprend pas? Il est évident que je te ferait visité Kiri après notre dîner avec moi tu serra en toute sécurité!

Je ne pus m'empeché de lui sourir avec bonheur... C'est la première fois que je me sentais si proche d'une fille et qu'un tel sentiment m'envahissait. Je ne comprenait pas ce qui m'arrivait.
Je me retournais alors pour cherché les Ramens, lorsque que j'entendi, un ventre proche de moi gargouiller! Je me suis alors retourné dans la direction de cette belle (ou plutôt magnifique) fille qui étais dans mon salon avec un sourir un peu moqueur!

_ Et bien, je vois que tu as vraiment faim. Je ferrais donc le plus vite possible, ne m'attend pas plus de 5minutes.

J'étais sur le point de partir lorsque, je repenssais à la règle essenciel à dire à tout étranger loger dans le village.

_ Ha, et j'ai faillis oublié une chose essenciel... Pendant mon absence ,il ne faux surtout pas que tu ouvres cette porte à qui que ce soit. N'oublie pas que tu es dans un village dangereu pour les étrangés. C'est pour ta vie que je dis sa, et parce que... je te trouve vraiment sympathique et magnifique!!!

Elle n'eu pas le temps de réagir que déjà la porte se refermais et j'étais partis.

Après cinq bonne minutes, je revint de part chez moi. Et m'arrétais devant la porte la main possé sur la poignet sans oser ouvrir de peur de la réaction de Harue Ine.

Invité

Une fois que son jeune et beau sauveur eut refermer la porte derrière lui, Harue put faire le point sur les derniers éléments. Tout d'abord, sa mission, qui lui avait permis de prendre un peu l'air, en dehors du Suna, même si la brume n'arrangeait rien à l'humidité qu'elle commençait à ne plus pouvoir supporter. La chaleur, le soleil, le sable commençaient à lui manquer, et surtout le Suna d'antan, d'avant Pein, d'avant l'annexion. Les nouvelles recrues de la résistance étaient nombreuses et motivées, mais peu expérimentés. Un changement était à faire à tous les niveaux, du juridique, au social, mais surtout en passant par le service météo... Elle soupira, puis repensa à son voyage, aux paysages qu'elle avait rencontré, aux nouvelles terres explorées, et puis surtout à la grande première, le bateau en pleine mer. Jamais encore elle n'avait vu de tels poissons, de tels bateaux aussi, mais surtout les animaux marins qui crachaient de l'air. Peut-être respiraient-ils de l'eau?
Harue revint ensuite sur la rixe qui avait éclaté ce matin, un peu plutôt. Les jeunes, pas forcement méchants, justes bagarreurs ou mal élevés, l'avait menacé, alors que ce genre de conflits pouvait déclencher une guerre. Chose que la Sunajin ne voulait absolument pas, elle comprenait combien l'annexion et la guerre était une chose horrible...
Elle repensa ensuite à son sauvetage, à l'étrange homme qu'était ce Heishi, à son sourire charmeur et ses manières étranges, douces, mais précises aussi. Elle laissa ses yeux s'attarder sur la décoration de son habitat, pas très riche mais bien tenu.
Elle rêvassait ainsi, quand elle entendit un bruit suspect. Son instinct de Chuunin l guida vers la porte, et elle sentit une présence. Faisant fis des recommandations de son hôte, elle ouvrit la porte, et sourit en voyant le jeune Kenishi. Elle lui entrebâilla la porte, pris les paquets et les posa sur la table.

- Raconte moi l'histoire de ton pays. J'ai survolé le chapitre à l'académie, mais nous ne nous sommes pas attardés sur Kiri, ni d'ailleurs sur aucun autre village caché excepté Suna...

Invité

Je reflechissais encore lorsque la porte s'ouvrit devant moi me laissant voir apparaitre Harue et son visage fin, magnifique... En la voyant, je me sentis rougir mais je sentis aussi monter en moi un sentiments de peur.

_Harue je t'avait pourtant dis de ne pas ouvrir cette porte! Tu prend un grand risque en fessant sa!

Alors que je rentrais, comme je pouvait m'en douter, elle me demanda:

_Raconte moi l'histoire de ton pays. J'ai survolé le chapitre à l'académie, mais nous ne nous sommes pas attardés sur Kiri, ni d'ailleurs sur aucun autre village caché excepté Suna...

_ Tu veux connaitre l'histoire de Kiri... Et bien je vais être honette avec toi... Ee ne sais que très peu de chose... Et je ne peux rien dévoiler de cette funeste histoire par ordre général du mizukage... Je suis navré de ne pouvoir répondre à ta question... Mais je suis à l'écoute de tes questions tout en préparant la table et en servant le repas.

Je passait dans la cuisine en dépossant au préalable le repas sur la table. En prennant les couverts, je me rendis compte que pour la premiere fois je ne pouvais me passer d'une femme. Mais jamais je ne pensais oser le lui avoue, ou bien même l'avoue à quiconque.

_Bien Harue, je pense que je doit te dire certaine chose sur moi, que peu de monde savent. Je ne suis pas quelqu'un de très social, et je ne supporte pas le fait de pouvoir avoir des sentiments ou bien même d'appartenir à quelqu'un d'autre qu'à soit même. Cependant à tes côté je me sent bien, et pour la première fois, je vais dire à quelqu'un ceci: Je veux que tu reste au près de moi. Je ne pourrait te l'expliquer, mais je te laisse bon choix de partir après ce que je vient de te dire.

Au fur et à mesure de mon discour, j'avais baisser la tête et maintenant je n'osait plus la relever de peur de croiser son regard et de la voir fuir mes propos.

_Harue, je n'ai servis qu'un repas veux tu le prendre à mes côtés, ou bien veux tu partir et ne plus jamais me revoir. Dans le deuxièmes cas, il y a un hôtel à deux pas d'ici. Annonce que tu vient de ma part et dis leurs que tu dois avoir la plus grande chambre. C'est moi qui t'y invite, je reglerais la totalité de tes frais à ton depart alors fait ce que bon te semble.

Après cela j'attendais sa réponse les yeux clos afin d'empecher mes larmes de couler.

Invité

Quand Harue eut ouvert la porte, et qu'elle entendit les paroles du jeune homme, elle ne put s'empêcher de hausser les épaules. Elle ne répondit rien, mais pensa, à juste titre, que même si la personne derrière la porte n'avait pas été son hôte, elle n'était pas si faible que ça. De facto, elle avait eut des problèmes avec les petits jeune seulement parce que, de un elle n'avait pas le droit de les blesser, de deux ils été en supériorité numérique. De quoi rager, bien sûr. Comment ça, et si derrière la porte il y avait eu plusieurs personnes? Harue l'aurait sentit... Quod erat demonstratum! Elle lui sourit gentiment, comme pour s'excuser. Elle le faisait sincèrement, mais le sentiment qui l'habitait la laissait quelque peu perplexe, peut-être un peu gênée. C'était étrange, elle aurait voulu lui expliquer sa démonstration, lui dire de ne pas s'en aire, qu'elle était assez grande pour s'en sortir. Mais elle n'ajouta rien, c'était légitime que le Kirijin s'inquiète. Elle ne connaissait que peu de choses sur la ville des habitants du village, mais à présent la jeune fille se rendait compte de la misère et de la pauvreté des habitants. Mendiants, voleurs, tout était bon ici pour survivre. La plupart des gens s'en sortaient grâce au vol, petits larçins et autres rapines. Si quelqu'un de mal intentionné l'avait vu entré... Elle frissona, de peur ou d'excitation, elle n'était pas particulièrement méchante, mais la bataille, l'odeur du sang, le gout des blessures... Tout cela était particulièrement envoutant, comme un charme qui l'empêchait de ressentir des émotions corrects.

Elle pensait à tout cela, tourbillon d'interrogations et de remises en question, et elle écoutait les paroles d'Heishi. Le flot impérieux de ses pensées se tarit momentanémment, avant de reprendre. Le mizukage avait interdit de dévoiler l'histoire du village? Harue fronça les sourcils. Que le jeune homme ne se sache pas gand chose, passe encore, c'était peut-être une affaire de concentration et d'écoute à l'académie, mais que le gouvernement interdise toute déclaration... Elle devrait faire son rapport, à son arivée à Suna. Et vite. Les cachoteries et les silences ne présagent jamais rien de bon...

Heishi mit la table, préparant le rp assez rapidement. Il semblait absorbé par ses pensées, et se tourna vers moi lentement, comme on approche du grand plngeoir, plein d'appréhension. Il revela à la Kirijin des sentiments qui l'abritaient, et elle se mordilla les lèvres :

- Tu as dit que peu de gens connaissent tes paroles... Nous ne nous connaissons que depuis peu de temps, n'oublie pas que je ne t'oblige à rien, si tu ne veux rien me dire ne le fais pas. Et ce que tu m'as revelé...

Elle laissa ses paroles en suspens. Qu'ajouter? Elle appréciait beaucoup, vraiment beaucoup le beau jeune homme. Rester? Pourquoi, ça ne l'engageait à rien. Toujours est-il qu'elle avait ses devoirs de ninja, qu'elle ne pouvait pas non plus les abandonnés ainsi... Il continua à parler, de plus en plus gêner. ll était célibataire, et ses sentiments devaient êre plutôt confus, après tout.

- Je peux déjà rester pour manger, tu as tout acheté et préparé... De plus, si j'avais je vais à l'hôtel, se ne sera surement pas aux frais d'un jeune homme que j'aurais éconduit... Si ça ne te dérange pas, je préfère l'intimité d'une maison.

Elle lui sourit, et s'assit à table, écoutant la réponse de son ami. Ses paroles non dissimulée étaient étranges, et elle ne savait pas trop comment réagir. Elle aurait encoe voulu le questionner, mais ses mots restaient bloqué dans sa bouche. Alors, elle attendit seulement les paroles d'Heishi...

Invité

Après avoir déballer tout cella je me sentais coupable et bete.
Je l'aimais et c'etais un fait indegniable. aor j'attendais sa reponse qui me frappa de plein fouet:

- Tu as dit que peu de gens connaissent tes paroles... Nous ne nous connaissons que depuis peu de temps, n'oublie pas que je ne t'oblige à rien, si tu ne veux rien me dire ne le fais pas. Et ce que tu m'as revelé...

Je ne sus que dire, alors je restais planter là sen bouger e a commencer a prendre racine. Alors qu'elle cotinuait son discourt:

- Je peux déjà rester pour manger, tu as tout acheté et préparé... De plus, si j'avais je vais à l'hôtel, se ne sera surement pas aux frais d'un jeune homme que j'aurais éconduit... Si ça ne te dérange pas, je préfère l'intimité d'une maison.

Alors là par conte je ne comprennait plus rien. Je ne savait toujours pas quoi dire, alors je me retournait pour préparer mon repas. Pas un bruit etait present, seul le son des baguette.

pourquoi ne parlait-elle pas? Lui avais-je fait peur? me penser n'allait que en me posant des questions. Je decidait alors de faire mon curieux (ce que je suis déjà de nature):

_Harue je voulais te demander. êtes vous entrain de préparer une rebellions pour reprendre le pouvoir de votre village?

Je savait que ce genre de question ne ce posait pas en général mais je me devait de la lui posser....

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