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Invité

Citation :: Rang D
Mission: Depuis peu, le commerce de Kiri est en expansion dut aux nombreuses manœuvres du Godaime pour redonner de la puissance mais cela est encore insuffisant. C'est pourquoi ce dernier fit appel à quatre architecte pour fabriquer un lieu de commerce immense qui contiendrait, dans un seul bâtiment, plusieurs magasins. Aidez les dans la construction bien que cela puisse vous prendre un peu de temps.

Voilà l’ordre de mission que Tsuki avait reçu de son Mizukage. Comme toujours, il n’était pas très emballé, mais bon, il fallait bien que le jeune homme s’occupe. Ainsi, en se déplaçant sur les toits, il se dirigea vers ce chantier, dans le centre du village caché de la brume. La pluie ne tombait plus depuis plusieurs jours, pour le plus grand bonheur du Genin, mais le soleil n’apparaissait toujours pas. Les toits n’étaient donc que très peu glissant, même si l’humidité persistée dans le village, créant ainsi une petite brume, tôt le matin, ainsi qu’en début de soirée. Ce temps nuageux et brumeux donnait à Kiri un certain charme, que même Tsuki appréciait, alors qu’habituellement, les jours sans soleil ne l’amusent guère.

Ainsi, pendant une dizaine de minutes, durant lesquelles il gambadait sur le toit des maisons Kirijins, il observait le ciel tout en recherchant le chantier où il devait à présent travailler. Tsuki, d’une allure moyenne, parcouru le centre du village, deux fois, avant de repérer, enfin, le lieu de construction, qu’il n’avait pas vu lors de son premier passage, étant donné qu’il regardait, à ce moment là, le ciel. Le bâtiment, où devait se trouver plusieurs magasins à l’intérieur, était déjà bien avancé. Le Rez-de-chaussée, ainsi que le premier étage, étaient assez avancé. Les fondations avaient été faites, les murs avaient été montés, la dalle du premier étage était déjà placé. Il ne manquait donc qu’à faire les murs de l’étage, le toit, les nombreuses cloisons, l’escalier, la pose des fenêtres et des quelques portes qui n’étaient pas encore mises. Cela semblait simple, surtout lorsque l’on ne connaissait pas la surface des travaux. En effet, le bâtiment s’étendait sur plus de 400 m², au Rez-de-chaussée, et sur environ 300 m² à l’étage.

Le Genin, après avoir observait le lieu, se présenta aux quatre architectes, auxquels il fit par de son ordre de mission. Les quatre hommes ne savait pas vraiment quelles taches lui donner, car après tout, Tsuki était un shinobi et non un employé dans le bâtiment. Ainsi, dans un premier temps, il fit le ciment, une chose assez simple. Il versa donc de l’eau dans le ciment, en poudre, qui se trouvait dans une bétonnière, et mit la machine en route. Par la suite, il remplit une gamate, et l’apporta rapidement à l’un des ouvriers, puis il en remplit une seconde, et l’apporta à un autre, et répéta cette tache jusqu’à la fin de la journée. La brume commençait à tomber, comme chaque soir, en même temps que la nuit. Alors que tout le monde s’en allait, Tsuki, accroupit sur un toit voisin, regarda son nouveau lieu de travaille, et jugeant du temps qu’il lui resterait, en sachant que grâce à lui, en une journée, ils avaient déjà fini de faire l’un des murs de l’étage. Alors qu’il pensait, les lumières du chantier s’éteignirent, et le Genin, calmement, en se levant, dit à voix basse :

« Deux Semaines… Maximum… »

Par la suite, il disparut dans la nuit, fraichement tombée, afin d’allé se reposer en vue de la journée qui l’attendait.

La nuit fut de courte durée, le soleil tapant tôt au fenêtre de Tsuki, encore épuisé par la journée précédente et de son sommeil de deux heure. Il était assez fatigué, mais se prépara tout de même vite. Le chemin était à présent connu par le jeune homme, ce qui lui permit de ne pas arriver en retard un seconde fois. A son arrivée, le chantier avait déjà reprit vie, et Tsuki, d’un air las, retourna à sa bétonneuse. Jusqu’à la demi-journée, le Genin ne fit que du ciment, et un peu de béton, et, en voyant l’expression sur son visage, l’un des architectes lui proposa de changer un peu de section. Ainsi, il l’envoya, toujours au Rez-de-chaussée, afin de poser les cloisons. Rapidement, en observant, il apprit comment faire, et se mit à reproduire les mouvements des ouvriers là où se trouvait les emplacements sur les plans. Les employés le regardèrent tous, surpris qu’une personne puisse observer et assimiler les mouvements de quelqu’un en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Ainsi, avec rapidité, il fixa les différents railles, et déposa, entre ces derniers, les cloisons, constituées principalement de plâtre. Au total, sur la surface du rez-de-chaussée, on comptait plus d’une centaine de cloisons, si ce n’était plus, leurs poses auraient donc prit, environ, entre une semaine et deux, mais, grâce au jeune Genin de Kiri, en une après-midi, la moitié de ces murs séparateurs avaient été posé. Cela dit, la journée n’était pas fini, et les architectes, contents du travail de Tsuki, le convoquèrent. Afin que le chantier avance plus vite, les quatre architectes lui demandèrent de continuer de poser les cloisons, d’ apporter rapidement, lorsque la pose sera terminé, le ciment aux ouvriers, et principalement, ceux de l’étage, et de construire, à l’aide des plans, le toits, lorsque les murs porteurs de l’étage auront été finis. Tsuki fut surprit par la dernière demande, mais ne put refuser même si il en aurait eu envie. Par la suite, ils le laissèrent retourner travailler, jusqu’à la tombée de la nuit, qui arriva deux heures après la discussion du Genin et de ses employeurs, qui partirent tous en même temps.

La troisième journée se leva en même temps que Tsuki, le Genin de 17 ans, en charge de plusieurs travaux sur un chantier important pour le village caché de la brume, qui n’avait dormi environ qu’une heure. Pour le deuxième jour consécutif, le soleil était présent sur le village, ce qui était assez rare. Le renommé Kuroshiro était donc de bonne humeur, et fixa, en déjeunant, l’horizon proche où se trouvait son lieu de travail. Alors qu’il était censé commencer dans dix minutes, il sortit de chez lui, tranquillement, en allumant une cigarette et, comme chaque matins, sauta sur le toit d’en face, étant le plus proche, pour commencer sa course contre la montre. Il ne mit pas plus de cinq minutes pour arriver, et éteignit la cigarette à son arrivée, qui commençait à consumer le filtre. Il ne déposa aucune de ses affaires, comme pour les deux précédents jours de travail, gardant ainsi sa tenue et son sabre. Puis, après avoir salué les autres ouvriers présent, Tsuki se remit à travailler. Les cloisons étaient à présent posé à une telle rapidité, qu’il ne fallut pas plus de trois heures au jeune homme pour poser la moitié restante. Par la suite, il se remit à la bétonnière, enchainant les gamates de ciment à vive allure. Le premier étage commençait à prendre forme, approchant ainsi de la création du toit par le jeune Genin. Les allées retours n’arrêtaient pas, Tsuki accourait à chaque appelles de d’ouvriers, et il commençait d’ailleurs à fatiguer. Mais malgré tout, il continua de travailler, car bien que paresseux, il pouvait également être très sérieux. Par la suite, voyant la pause de la demi-journée arriver, Tsuki put déjeuner avec les autres employés du chantier. Il paraissait fatigué, et mangé n’avait pas l’air de lui suffire pour retrouver un peu de force. Alors, après avoir finit son repas, le jeune Kuroshiro, en s’allongeant, alluma une cigarette, et en s’étirant, dit, d’une voix simple et amicale :

« Alala… Rien de mieux qu’une petite cigarette après mangé… Je me sens d’attaque à présent ! »

Les quelques personnes présentes autour de lui sourirent après ces mots, car en Tsuki, bien que jeune, il voyait l’un des nombreux espoirs de Kiri qui redonnerait sa jeunesse au village grâce à leur travail et à leur charisme. En effet, de par sa volonté et son travail, le Genin avait redonné à tous les employés l’envie de finir rapidement ce chantier. Ainsi donc, une fois que le shinobi eut fini de fumer sa cigarette, il l’écrasa, et retourna à sa tache, suivit par les ouvriers. Ainsi, dans l’après-midi, le troisième mur fut achevé, et le quatrième entamé. La journée se termina rapidement, ne laissant le temps au jeune homme de respirer qu’une fois la nuit tombée. Par la suite, l’un des architectes chargé du chantier vint parler à Tsuki, lui disant que grâce à lui, ils avaient énormément avancé, et qu’à présent, ils pouvaient continuer sans l’aide du shinobis. Le Genin contesta la décision de l’architecte, mais lorsque ce dernier lui dit que les ouvriers avaient tous retrouvé l’envie de travailler après les efforts de Tsuki, l’adolescent sourit, et accepta le choix. Le shinobis rajouta que, si ils avaient besoin d’aide, il suffisait de le faire savoir. Enfin, avant de laisser partir Tsuki, l’architecte donna une petite bourse au shinobis, qui, avec un grand sourire, remercia son « employeur », avant de disparaitre doucement, comme toujours, dans l’ombre de la nuit, se rendant vers le bureau de son Kage pour y déposer son rapport.

[HRP : Désolé Pour Le Retard De Ma Mission, Mais Egalement Si Ce Post' Peut Sembler Confus =/ ]

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