Jutsus d'Ayami

• Nom de la technique : Doku Sen Ichi no Jutsu

• Traduction française de la technique : Technique des mille et un poisons

• Mudrãs : Cheval - Serpent - Chèvre - Dragon - Coq

Spoiler:

• Genre : Genjutsu

• Affinité : type doku (poison)

• Effet du Jutsu : Une fois les sceaux formés, l'attaquant projette mille et un Senbon (aiguilles ninja). Sur ce nombre seul un Senbon est authentique, les milles autres font partie de l’illusion. Si le réel Senbon érafle, touche, transperce l’adversaire ce dernier est empoisonné gravement (voir tableau ci-dessous). Un niveau supérieur peut choisir d’appliquer un poison plus faible.

Grades	Plaies Légères	Plaies Profondes
Gennins	Maux de ventre sévère	Perte de connaissance
Chuunins	Membres engourdis	Paralysie du corps
Juunins	Saignements internes	Paralysie du Chakra
Kage	MORT dans les 10 min	MORT dans les 10 min

• Inconvénients : Un seul Senbon est réel. Donc un ennemi entrainé à parer les genjutsus, n’aura aucune difficulté à voir le vrai projectile. Un adversaire au niveau supérieur ou égal de celui de l’attaquant, et ayant des connaissances médicales pourra dissiper les effets des poisons plus ou moins rapidement suivant son niveau médical (pour le reste vous avez Synthol ^^).

Ca me plait bien =D ! Fais ton entrainement !

Il parait que le premier jutsu qu’apprend un ninja, lui colle à la peau à tout jamais, dans le cas d’Ayami c’est encore plus vrai. Ce jutsu le ‘Doku Sen Ichi’ est une technique qui fait appelle à l’art du Genjutsu (techniques de l’illusion) et celui du Dokujutsu (techniques de poison). En effet, le shinobi utilise la tromperie de l’illusion pour mieux empoisonner son adversaire. Il ne s’agit pas d’une technique ancestrale et encore moins d’un Kekkei genkai, mais plutôt d’un savant mélange entre les arts ninjas et la médecine.

Le père d’Ayami était un Eiseinin (ninja médecin) assez médiocre, mais grand expert dans l’élaboration de poisons divers et variés. Après le décès de sa femme et les premières menaces de mort qu’il reçut de la mafia locale, il mit au point le poison ultime. En effet que penser d’un poison qui évolue sans cesse, d’un poison qui s’intensifie au cours des combats, qui s’adapte à son environnement…parfait ?! Peut être, mais le père d’Ayami y croyait dur comme fer. Mais qui aurait pu servir de réceptacle au poison, si ce n’est la propre fille du médecin bafoué. Le destin avait donc une nouvelle fois condamné un être innocent, le père d’Ayami synthétisa la genèse du poison dans des pilules qu’il donna à sa fille.

Au fil des ans, le poison s’imprégna dans tous les fibres de son être, tant et si bien que son propre chakra en était lui aussi touché. Il lui était interdit d’entrer en contact physique avec quiconque, son père y veillait, même le jour de son examen de Genin, il réussit à convaincre les Senseis qu’Ayami devait passer les épreuves seule. Pendant sa formation de Genin, son père demanda un congé au Juunin qui veillait sur Ayami pour raison familiale importante, le Juunin accepta et laissa son élève partir avec un entraineur de fortune.

Cela faisait déjà deux semaines qu’Ayami était confiner dans la cabane, elle passait ses journées à observer son père préparer des pilules plus concentrer en poison les unes que les autres. Elle notait soigneusement les ingrédients dans un carnet, elle se savait qu’un jour ou l’autre elle devrait se passer des soins paternels. Un soir alors que la pluie faisait rage à l’extérieur de la maisonnée, un homme se présenta à la porte. Sans dire un mot, il resta la fixant la jeune fille de ses yeux noirs. Le père d’Ayami vint saluer l’étranger, puis désigna Ayami d’un geste désintéressé. Elle ne comprit pas ce que ce geste impliquait, mais quand elle vit son père donner un sachet de pilules empoisonnées au sombre personnage. Un sentiment d’abandon la submergea et c’est avec le cœur lourd qu’elle sortit de la cabane en compagnie de l’étranger.

Ils arrivèrent dans une clairière lugubre après une nuit de marche dans le silence, ce genre de nuit qui vous semble une éternité. L’homme fit volte-face et jaugea Ayami :
?? - Tu es plus fragile que je le pensais, gamine.
Ayami - Non, mais oh ! Vieux débris ! on peut savoir qui tu es et pourquoi on est ici ?
Motuka - Je suis l’ermite Motuka Sama. Je suis venu honorer une vielle dette que j’avais envers ton père.

Ayami sortit un Senbon et mit en joue Motuka, l’air menaçant.
A- Ca y est ! Mon père a perdu patience et ce rat puant a préféré payer un vieux ninja déconfit pour faire son sale boulot

En un instant, Motuka désarma la Genin en lui tordant le poignet puis il lui administra une baffe magistrale et un direct dans l’estomac. Ayami tomba a genou le souffle coupé.
M – La baffe c’est pour que tu apprennes à surveiller ton langage, le coup à l’estomac pour t’enseigner le respect du aux anciens. Pour ton poignet…quand tu menaces quelqu’un tiens toi toujours sur tes gardes, soit prête à donner ta vie quand tu attaques.

Ayami opta pour le respect dans un premier temps :
A-Bien…Sensei…Qu’avez-vous à m’apprendre ?
M- Dans un premier temps, nous allons travailler ton affinité élémentaire…hum…je dirais Suiton, non ?
A-Oui Sensei.
M- Très bien, commençons. Nous n’avons pas beaucoup de temps.

L’entrainement avec Motaku Sensei dura quelques mois, mais une technique en particulier fut longue à maitriser le ‘Sen Ichi’. En effet, Ayami n’était pas une experte en Genjutsu et elle dut particulièrement s’exercer. Un matin Motaku réveilla sa disciple en lui lançant une pierre en pleine poitrine, cette dernière vociféra contre le vieux maitre.
A-Eh Sensei !! Ce n’est pas une façon de réveiller une fille. Quoique ca doit faire longtemps que vous n’avez pas approché une femme.
M-Je te propose un marché, évite cette pierre et je t’offre une journée de repos ainsi qu’un repas chaud.
*C’est trop beau pour être vrai, le vieux trame quelque chose. Je dois rester sur mes gardes* songea t’elle.
A- Très bien j’accepte, et si je rate ?
M- Doubles corvées…
A-Je suis prête, allez y.

Motaku Sensei prit une impulsion et s’éleva dans les airs. Il forma une série sceaux et prononça :
‘Sen Ichi no Jutsu’
Des centaines de pierres identiques fondirent sur Ayami, elle commença à les esquiver mais fut atteinte à l’épaule. Alors que l’attaque se termina, elle regarda autour d’elle et n’aperçût que le projectile qui l’avait touchée. Aucunes traces des centaines de pierres qui étaient la deux secondes plutôt. Les yeux pleins de rage, elle fixait Motaku Sensei :
A-Ca ne compte pas, Sensei. Vous avez trichez !!
M- Et l’ennemi ne triche jamais, peut être ? Et puis je te signale que je n’ai lancé qu’une pierre.

Ayami pestait dans son coin, elle devait bien admettre qu’elle avait perdu son pari. Elle ne s’attendait à l’utilisation d’une illusion, mais une chose était sure : elle maitrisera cette technique. Motaku s’avança vers elle, il s’assit sur une souche à quelques mètre et alluma une vieille pipe. Ayami avait depuis longtemps remarqué que lorsque le Sensei fumait, il avait l’air encore plus sérieux qu’a son ordinaire.
M- Cette technique de Genjutsu est une gentille farce pour ceux qui la comprenne, mais associé à une arme, elle devient une technique qui peut changer radicalement le cours d’un combat. Prends cette pierre, gamine, et exerce-toi à la lancer contre cet arbre. Mais le but de ton exercice n’est pas de toucher l’arbre mais plutôt de laisser la pierre partir de ta main de son propre chef.

Ayami ramassa la pierre et la lança avec force et rage. Cette dernière vint percuter l’arbre et se brisa sur le choc. Elle se tourna vers Motaku afin de recevoir son approbation, mais elle ne reçut qu’un projectile en plein visage.
      A- Mais ?! Quoi ?
M- Tu as lancé cette pierre grâce à ta force physique ?
      A- Bah oui ! Elle ne va pas partir de ma main par magie

Bing ! Une autre caillasse vient s’écraser sur l’épaule déjà meurtrie d’Ayami.
M- Insolente ! Sombre idiote ! Écoute-moi bien, l’art du Genjutsu est l’illusion. Laisse croire à ton ennemi qu’il esquivera ton attaque et quand il baissera sa garde, frappe le. Ce Genjutsu est basé sur la vue et l’ouïe. Apprend à te mouvoir tel le serpent, ensorcelle ton adversaire et termine ton illusion par le nom du jutsu qui fera le reste, recommence et applique-toi.
*Bouger comme un serpent… un serpent… un serpent !! Mais bien sur !* pensa t’elle.

Ayami repensa à cette fille qu’elle avait vu dans les rue d’Oto, une saltimbanque, elle dansa pour quelques Ryos. Ayami avait trouvé cette danse pas mauvaise, mais pas non plutôt excellente ; elle avait remarque que la danseuse avait bien récolté sa pitance, plus que ce qu’elle aurait du. A présent elle s’en rappelait : seuls les hommes lui versaient de l’argent. Cela ne faisait plus aucun doute, il ne pouvait s’agir que d’un genjutsu, Ayami entreprit donc d’emprunter ce chemin pour mieux assimiler la technique.
M-Bon, tu commences ? Mais ce coup-ci, vises moi.
Un sourire malicieux se dessina sur le visage d’Ayami.
A-Bien Sensei

Ayami se concentra quelques instants et dirigea son chakra vers sa voute plantaire, afin de lui donner assez d’impulsion. Au lieu de s’élever simplement dans les airs, elle partir en formant une vrille. Une fois arrivé à son zénith, elle fit face à Motaku en écartant les bras. Ce geste eut pour effet d’ouvrir le kimono avec grâce et volupté. Ayami fit quelques passes avec les bras et les mains telle une geisha, puis tout en refermant les bras, elle fit les sceaux de chakra dans ses manches et chuchota tel un air de musique :

L’illusion marcha, on aura cru voir que la chevelure d’Ayami se parait de centaines de feuilles. A la fin de son incantation, les feuilles se détachèrent de ses cheveux et tombèrent vers Motaku qui regardait admiratif cet automne artificiel. Il ferma les yeux et se leva, il s’avança au point de chute d’Ayami.
M- Je dois avouer que ce genjutsu est particulièrement esthétique. C’est une façon bien personnelle de l’exploiter, mais à l’avenir n’oublie pas d’attaquer ton adversaire. Ce n’est pas tout de le charmer, faudrait il encore que tu puisses t’en débarrasser.
A- Sensei ?! Puis je utiliser votre bourse et partir au village, j’ai besoin de m’acheter un nouveau kimono.
M- Non mais tu ne m'as pas écouté!! Tant que tu n'auras pas réussit à me toucher, il est hors de question que tu bouges d'ici. Et saches que je n’économise pas pour qu'une saletée gamine prétentieuse dépense ce qui m’app…

Motaku eut un mouvement du bras non-contrôlé. Il tourna son poignet pour y découvrir une feuille plaquée contre sa peau, il fit volte face et regarda Ayami. Un air approbateur vint éclairer son visage, mais une sensation de picotements s’empara de son bras. Il avait à peine le temps de le remarquer que son membre pendait inanimé, ce fut au tour de ses jambes de le trahir. Il tomba violement à genou et fixait Ayami d’un air accusateur.
A- Ne vous inquiétez pas Sensei, je n’ai pas mis beaucoup de poison. Et puis quand il est assimilé par contact avec l’épiderme, il est assez dilué. Je préfère comme ca d’ailleurs, ca lui laisse le temps de s’insinuer dans le sang. Vu votre corpulence et votre âge, je pense que vous pourrez retrouver une mobilité partielle d’ici une bonne journée.

Ayami se dirigea vers les affaires du Sensei et après voir fouillé quelques instants elle en sortit une sacoche remplit d’argent. Puis tandis qu’elle tournait le dos au Sensei, elle lui laissa un :
A- A demain, Sensei. Je vous ramènerais un souvenir avec votre argent. Hi Hi !

[HJ : je fais ici référence au Dokujutsu, je n’en parle comme d’une branche à part des techniques ninjas, mais plutôt comme de la traduction mot à mot (Doku=poison et Jutsu=technique). Si le terme ne passe pas, je le remettrais en français.]

Ok! C'est validé! Prochain entraînement dans 100 pts d'xp ^^

Attention, tu fais souvent des fautes de grammaires facilement évitables ^^ (vous avez tricheZ à la place de vous avez triché, l'utilisation du conditionnel à la place du futur...)

(Sinon pour le Doku No Jutsu, il faut que tu précises la traduction en français quand tu combattras ^^)