mission de rang C, sauver le garde (terminée)

Sujet: mission de rang C, sauver le garde (terminée) Mer 18 Nov 2009 - 3:07

Ce matin là, je me dirigeais vers la grande tour de métal avec un air de gaieté. Je m’y rendais tranquillement tout bêtement pour aller voir s’il n’y aurait pas de mission simple à exécuter qui ne me demanderait pas trop d’efforts. En arrivant devant les grandes portes, je les ouvris et je me dirigeai vers la grande salle des juunins. À peine après avoir franchi la porte, un juunin vint me voir avec affolement. Il me dit simplement qu’un garde d’Ame avait été attaqué par des brigands et il était blessé. Il se trouvait à présent dans les plaines près du village. Il avait réussis à envoyer un message d’urgence avant sa fuite, mais je devais maintenant aller lui porter secours. Le juunin me donna un kit de premier secours et il me poussa à l’extérieur de la salle pour me montrer que cela urgeait. Les juunins étaient très occupé ces temps ci et par ce fait, ils n’avaient pas le temps pour se genre de choses. Ils préféraient envoyer des génins expérimentés qui feraient très bien l’affaire. Je sortis de la grande tour en courant et je me dirigeais vers la sorti du village à toutes jambes. J’atteignis bientôt les grandes portes du village. Je m’arrêtai net pour reprendre mon souffle et aussi mes esprits. Je ne pouvais pas foncer tête baissée vers les plaines. Les brigands auront tôt fait de retrouver le garde et ils lui feront sa fête. Je devais aller secourir mon compatriote sans me faire voir par les brigands. Par la suite, je devais le soigner du mieux que je pourrais pour finalement l’évacuer jusqu’au village sain et sauf. Je repris ma course, mais moins rapidement que précédemment. Je me faufilai à travers la forêt qui entourait le village. Tout ninja savait maîtriser l’art de la discrétion. C’est alors que je parcouru la distance me séparant des plaines sans me faire remarquer. Dans la forêt dense, j’étais pratiquement invisible pour des brigands de bas étages. J’étais maintenant à la lisière de la forêt. Je scrutai l’horizon à la recherche du garde blessé. Ce n’était pas évident avec toutes ces longues herbes qui couvraient les plaines. Quelques chemin de terre battue se faufilaient ici et là à travers les plaines, mais il y avait plus d’herbes que de chemins. Je plissai mes yeux pour essayer de percevoir tout détail étant suspect pouvant révéler la position du garde. J’apercevais une petite masse très loin de ma position. Je déduis que l’homme était couché soit sur le ventre ou sur le dos. Il était encore trop loin de moi pour affirmer quoi que se soit. J’étais sur la branche d’un arbre lorsque je scrutai la plaine. C’est alors que je sautai en bas de mon perchoir et je me mis en mouvement. J’avançai lentement pour ne pas éveiller les regards. Je marchais accroupi pour que ma présence soit plus difficile à remarquer. J’atteignis le garde après un moment qui me sembla une éternité.

Lorsque je m’approchai de lui, il sortit un kunai, mais il vit très vite que je n’étais pas une menace. Mon bandeau de ninja portait l’insigne du village d’Ame et c’était suffisant pour le rassurer. Il savait maintenant qu’il avait une chance de rester en vie. Je me mis vite à la tâche car nos ennemis ne tarderaient pas à arriver. Je sorti des bandages et des compresses pour le soigner. Il avait une grosse entaille dans la jambe droite qui saignait abondamment. Dans mes leçons à l’académie, on nous avait enseigné comment soigner une telle blessure. On devait couvrir la plaie avec des pansements, faire une pression et par la suite une élévation pour arrêter le saignement. Je mis des compresses sur la coupure et je mis par la suite un bandage pour bien maintenir le tout en place. C’était maintenant le temps de l’élévation. Je m’accroupis à genoux près du garde et je pris sa jambe. J’avais eu comme idée que je pourrais la mettre sur mon épaule pour épargner l’énergie de mes bras. Quand je pris sa jambe, il poussa un grand cri de douleur. Sa blessure était plus grave que je le croyais. Il avait une cassure ou même une fracture. Je redéposai sa jambe au sol et je pris deux branches solides qui trainaient non loin de moi. Je les mises de chaque côté de sa jambe et je les fixai au niveau de la cuisse et du tibia pour être sur que la jambe de plie pas. Je fixai solidement le tout avec d’autre bandage. Je fis pression sur la blessure pour arrêter le saignement.

Tout à coup, j’entendis des bruits de broussailles. Je levai ma tête pour voir quelle était la source du bruit et je vis 5 brigands s’approcher de nous à une bonne vitesse. Ils avaient dû réussir à nous repérer lorsque le garde avait crié. J’avais réussis à arrêter l’hémorragie, mais on n’était tout de même pas sorti d’affaire. Comment évacuer un tel blesser seul pendant que des brigands nous attaquaient. Je n’avais pas le choix. J’allais devoir combattre. J’avais tout de même l’effet de surprise de mon côté. Les brigands savaient à peu près où on se trouvait, mais pas exactement. Je fis signe au garde blessé de rester coucher sur le dos et en aucun cas se lever. Il risquerait d’aggraver sa blessure et peut-être même rouvrir sa plaie. Je restai accroupi, mais je me mis face aux brigands. Je pris un kunais dans ma main droite et des shurikens dans ma main gauche. Les brigands étaient de plus en plus prêts de moi. Lorsqu’ils furent à bonne distance donc à porter de shuriken, le combat débuta. Je me levai d’un bond et je lançai mes shurikens qui atteignirent un des gardes. Un de moins. Il était trop tard pour que j’utilise un genjutsu. Je n’avais pas assez de temps. De plus, il n’y avait pas de sources d’eau près de moi donc cela rendait mes techniques de ninjutsu inutilisables moi qui est de type suiton. Se combat allait donc se faire au corps à corps et avec une incroyable violence. Je devais user de toute ma fugue et de toute ma rage de vivre pour déployer le maximum de force pour vaincre mes ennemis.

Je continuai l’attaque. Les brigands furent surpris par mon attaque inattendue, mais ils ne prirent pas beaucoup de temps à se ressaisir. Je m’élançai vers le groupe de brigands, je fis un bond dans les airs pour me retrouver derrière le groupe. Je pris un deuxième kunais dans ma main gauche et je poignardai un des brigands d’une dizaine de coups de kunais. Le sang gicla sur mon manteau, mais ce n’est pas cela qui allait m’arrêter. J’allais par la suite déchainer toute ma rage sur un autre brigand. Il s’approcha de moi. J’esquivai son coup en m’accroupissant au sol et je contre attaquai. Je lui ouvris le ventre de bas en haut. Cependant, j’étais tellement absorbé par le combat que je ne vis par le brigand qui se glissa derrière moi. Il m’asséna un grand coup de massue sur la tête. Je tombai au sol. Du sang coulait dans mon cou, mais l’adrénaline me galvanisait de fureur meurtrière et je ne ressenti pas la douleur. Je pris les shurikens qui me restaient et je les lançai sur mon agresseur. Je lançai aussi mes deux kunais qui atteignirent ma cible. Il ne restait qu’un brigand. Il était figé sur place. Tétanisé par la peur. Mon regard fusionna avec le tien et il se mit à reculer par peur. Je n’allais toute fois pas le laisser partir. De toute façon, je ne pouvais pas. J’étais pris dans une rage meurtrière et je ne pensais plus par moi-même. C’était mon corps qui agissait seul. Je sorti mon wazabishi de mon dos. C’était une petite épée très coupante. Je m’élançai vers le brigand qui titubait à reculons et je lui tranchai la gorge. Le sang gicla sur mon visage. Je voyais tout en rouge. Le combat était terminé. L’adrénaline baissa et je pris connaissance de ma blessure. Elle me faisait souffrir le martyre, mais je devais sauver le garde qui était étendu dans l’herbe. Il n’avait rien vu de la scène et par chance. Tout ce qu’il vu c’est moi avec le visage ensanglanté. Et voulu dire un mot, mais je le fis taire par un geste de main. Je pris le kit de premiers soins. Je l’aidai à se relever et nous partîmes vers le village avec peine et misères. Ce fut l’enfer de retourner au village. Ma blessure me faisait très mal et je perdais aussi du sang. Avec l’affolement, je ne pris même pas le temps de me faire un pansement à la tête Une fois arrivé, les gardes présents nous prîmes en charge et ils appelèrent une équipe médicale. J’avais réussis ma mission une fois de plus. C’est alors que je m’évanouis.

Sujet: Re: mission de rang C, sauver le garde (terminée) Ven 20 Nov 2009 - 2:05

Dernière édition par Konan le Sam 21 Nov 2009 - 4:48, édité 1 fois

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Sujet: Re: mission de rang C, sauver le garde (terminée) Sam 21 Nov 2009 - 4:21

c'est une rang C et non D ?

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