Les nouveaux Jutsus du Raikage.

• Expérience de la technique : 50 XP
• Nom de la technique : Kuchiyose no jutsu: Taka
• Traduction française de la technique : Invocation des faucons
• Genre : - Ninjutsu
• Affinité : Ninpô
• Effet du Jutsu : L'effet produit est simple. En passant juste la main droite à un endroit, le ninja peut invoquer des faucons. Cependant, ces faucons ne sont pas comme leur congénères. Ils sont pour la plus part doué de parole et maitrisent des techniques de type Fuuton. La taille des oiseaux varie, le seigneur des faucons est la plus grande de ses créatures. Il a déjà rivalisé avec Gamabunta, lors d'un duel amical entre les deux hommes. Ce pacte entre ses créatures et Girachi à été passé il y a longtemps. Alors qu'il venait à peine de recevoir son grade de Chuunin.
• Inconvénients : Pour réaliser la technique d'invocation, le ninja doit être en mesure de réaliser le rituel. Et bien entendu, le chakra demandé pour invoquer un faucon varie selon sa taille. Plus il est grand plus la quantité de chakra est élevé.

Ok commence l'entraînement mais attention, tu ne peux invoquer qu'un seul faucon à la fois ! Et utilisation limitée à 2 fois dans le combat pour le grand

Bonjour à vous mes enfants, aujourd'hui je vais vous compter l'histoire d'un homme qui a fait du village de Kumo celui qu'il est aujourd'hui. Cet homme, c'est l'actuel Raikage, Raikage cinquième du nom. Son nom vous le connaissez tous, Uteko Girachi. Pour vous jeunes enfants, ce ninja à toujours été à la tête de notre village. Mais en réalité, Girachi à un jour, tout comme vous été un jeune garçon qui ne rêvait que d'une chose devenir un grand ninja. Mais pour que vous compreniez mieux, nous allons faire un petit retour en arrière. Ce voyage dans le temps, va nous ramener environ 12 ans avant ce jour. Ce qu'il faut savoir, pour comprendre la période que je vais vous décrire, c'est que le monde des ninjas venait à peine de sortir de la Troisième Grande Guerre ninja. Tout le monde en sortait meurtrit. Personne n'avait été épargné par un tel conflit, certains en revenaient blessés physiquement. Mais ce n'était pas la majorité, en fait la plus part des victimes d'un tel conflit n'avait que des blessures psychologiques. Il faut bien comprendre que les enfants que vous êtes, étaient déjà des guerriers à l'époque. Les gens ne vivaient que dans la peur de voir ce cauchemar recommencer.

Mais vous me direz et Girachi dans tout ça? Eh bien Girachi n'avait déjà plus rien d'un enfant à cette époque. Il était même un Chuunin accomplit qui avait vu des choses qu'un jeune garçon de 15 an ne devrait pas avoir vu. Mais comme tout le monde à cette époque, le souvenir de la guerre avait durement touché le jeune homme. Il n'était qu'un Genin lorsqu'il participa aux premiers combats. Par chance, il n'avait pas vécu de longues années de guerres comme la plus part des ninjas plus vieux du village. On pouvait dire que dans son malheur, il était chanceux, il était en vie. C'est vrai que le village de Kumo avait drôlement souffert de ce conflit international. Cependant contrairement au reste des pays ninjas, Kumo devait faire face à un autre problème. Le Raikage troisième du nom, son grand-père avait eut l'idée folle de conquérir les deux sphères du pouvoir au sein du pays de la foudre. Sa cible n'était plus les autres pays mais le Seigneur de La Foudre en personne. Les ninjas du village commençaient à douter de la capacité du Sandaime à pouvoir gouverner le village. Néanmoins la guerre reprit de plus belle et Girachi fut attiré dans ce conflit sans vraiment le comprendre. Voilà vous savez à peut prêt le contexte de l'époque...Tiens mais que vois-je un ouvrage des entrainements de notre cher Raikage...Vous vous voulez que je vous le lise les enfants?....Très bien, très bien du calme je vais commencer rester calme d'accord....Alors.

Chapitre 1: les faucons du pic Hateshinai.

Alors... Ah voilà. Cette histoire commence lorsque le Godaime n'avait que 15 ans. Comme dit dans la préface de ce livre, la guerre civile faisait rage à l'intérieur du pays de la foudre. Le Sandaime avait perdu l'esprit et voulait dominer tout le pays dans un régime axé sur la terreur. Notre jeune garçon ne pouvait alors qu'obéir aux ordres de ses ainés comme on lui avait apprit. C'est donc pour cela qu'il s'entrainait très dur pour devenir plus fort. En cette matinée d'un mois d'automne, le ninja parcourut les quelques mètres qui séparaient la maison familiale de la rue commerçante. Sa mère lui avait demander de faire quelques courses pour le déjeuner de toute à l'heure. Seulement, comme vous le savez très certainement, notre Raikage est quelqu'un de très curieux par nature. Du moins il l'était à cette époque. Alors vous comprendrez facilement pourquoi même après avoir acheté tout ce dont sa mère avait besoin, il ne put s'empêcher d'aller faire un tour à la boutique de rouleaux du coin de la rue. C'est d'ailleurs ce jour là, qu'il fit la plus grande découverte de toute sa jeune vie. Un rouleau sur l'art de l'invocation. Cette technique ninja, n'était accessible qu'à très peu de ninja. On racontait qu'il fallait faire un pacte avec un animal pour pouvoir ensuite l'invoquer quand bon lui semblerait. C'était une véritable aubaine pour le jeune homme, il fallait sauter sur l'occasion. Tout excité le jeune garçon s'approcha du vendeur...

-"Dites combien pour ce rouleau sur l'art de l'invocation s'il vous plait?" Demanda Girachi.

-"120 ryos petit gars...Je sais c'est cher, mais c'est une pièce unique.Alors tu la prend ou pas?" Répondit sèchement le marchand.

120 ryos?! En voilà un prix fort élevé pour un simple rouleau d'apprentissage. Après un bref moment d'hésitation, il se décida quand même à payer la somme demander. Non sans une légère grimace, il fallait bien le dire. Déposant la somme sur le comptoir, il espérait que son acquisition en valait la peine. Il prit le "précieux trésor" des mains du marchand. Puis se hâta de renter pour donner le reste de ses achats à sa mère. Une fois le pas de la porte franchi, il déposa le sac sur la table de la cuisine avant de se précipiter dans sa chambre pour enfin lire ce qui lui avait couté autant d'argent. Apparemment cette technique était assez simpliste, il ne fallait pas beaucoup de travail pour arriver à mémoriser la série de signe. De plus, cela ne nécessitait qu'un léger sacrifice de sang pour pouvoir appeler la créature. Girachi se demandait bien quel genre de monstre on pouvait invoquer. Es-ce qu'ils étaient comme les animaux qu'on pouvait voir tout autour de nous, lorsqu'on regardait en l'air, ou sur un arbre. Pouvaient-ils parler et comprendre la langue des humains. Et surtout, se pourrait-il qu'ils soient plus grands qu'un bâtiment? Tant de questions, auxquelles le ninja voulait des réponses. Après tout c'était un novice dans ce domaine, il ne demandait qu'à apprendre...

Néanmoins l'apprentissage allait être remit à plus tard, car le cris maternel venait de faire sonner l'heure du repas. Un repas qui fut comme à l'accoutumée très silencieux. On parlait peu voire pas du tout, lors de cet évènement qui n'avait pour lieu que trois fois par jour. Je parle d'évènement, car le reste du temps, les Uteko vivaient leur petite vie tranquille chacun de son côté. Seul les entrainements, de plus en plus rares que lui accordait son père était l'autre contact avec cette figure paternelle. Mais bon, le jeune homme en avait fait son deuil et avait apprit à vivre dans cette solitude qui maintenant lui plaisait plus que la compagnie des autres membres de sa famille. Toutefois, aujourd'hui Girachi avait décidé de rompre ce silence pesant et presque morbide.

-"Dites père. Es-ce que vous savez maitriser l'invocation?" Demanda-t-il la voix le plus neutre possible.

-"Oui...Oui bien sûr, les faucons. Mais pourquoi cette question fils?" Répondit-il avec un ton interrogateur.

Le jeune homme prétexta une simple curiosité pour justifier cette question. Mais en réalité, il espérait ( et ce fut le cas) que son père l'éclaire davantage sur le type de créature que l'on pouvait invoquer. Ainsi donc, son père pouvait faire venir des faucons. C'était assez commun dans la région comme créature. Girachi lui rêvait d'exotisme, il aimait tout ce qui avait attrait aux dragons et à la mythologie qui les accompagnait. Enfin bref, seul l'avenir lui dirait si son rêve se réalisera. Il sortit de chez lui très peu de temps après la fin du repas pour aller s'entrainer à cette nouvelle technique. Il rejoignit le terrain d'entrainement aussi vite que ses jambes pouvaient le porter. Une fois sur place, il déroula le rouleau et commença à malaxer son chakra. Puis après une brève série de signe, il se mordit le pouce droit et déposa une légère trainée de sang sur sa main gauche, avant de poser celle-ci sur le sol.

C'est alors qu'un nuage entoura le ninja, puis soudain il fut attiré par une sorte de trou spatio-temporel. La destination du jeune homme n'était autre que le pic Hateshinai, la demeure des faucons sacrés du Pays de la Foudre. Mais il ne le savait pas encore. Le jeune ninja errait à la recherche d'un moyen de sortir d'ici. Cet endroit était d'un glauque pour lui, on pouvait apercevoir des nids à perte de vue. Soudain alors qu'il marchait droit devant lui, il aperçu vers l'horizon un château. Il était gardé par des faucons géants qui se tenaient fièrement devant une allée de statues de faucons presque aussi grandes que les gardes. Alors qu'il arpentait le chemin pierreux qui allait le mener au palais. Il entendit une voix s'élever dans les airs des montagnes environnantes...

-"Dis donc Yamato, tu as rajeunis ou quoi?! Puis cette quoi cette coupe? Mon père ne va plus te reconnaitre..."

Soudain, un volatile surgit juste devant lui. C'était un faucon, un faucon qui parle!!! En plus la créature était de la même taille que le ninja. C'était incroyable, la technique l'avait transféré dans l'antre des faucons de son père. Surprit et un peu apeuré par la situation le jeune homme fit un pas en arrière, mais il tituba et tomba la tête la première dans le gouffre béant qui se tenait sur sa gauche. Alors qu'il voyait le sol se rapprocher de plus en plus en même temps que sa fin. Il ferma les yeux, ne préférant pas voir sa propre mort arrivée. Soudain après un léger choc, il se sentit monter vers le ciel. Étais-ce la fin? La mort avait-elle fait son œuvre. Quelque chose criait à Girachi d'ouvrir les yeux. Étais-ce sa conscience? Sans se poser de question, il ouvrit les yeux et s'aperçut qu'il était toujours bel et bien en vie. Son cœur battait la chamade dans sa poitrine et en plus il ressentait l'air fouettée son visage. Il regarda autour de lui pour voir ce qui s'était réellement passé. Il était en fait sur le dos de l'animal qui lui avait parlé toute à l'heure. Lorsqu'on regardait de plus prêt l'animal, il avait un plumage aux couleurs marron sur le poitrail et blanche à l'extrémité des ailes. En se penchant Girachi s'aperçut que ses yeux étaient d'un vert magnifique. Il n'en n'avait jamais vu de pareil. Il manqua d'ailleurs de tomber en essayant de remonter un peu plus en arrière sur le dos de l'animal.

-"Fais attention, idiot. Tu n'es pas Yamato toi, seul un empoté aurait pu à ce point risqué sa vie à la seule vue d'un faucon qui parle...Je suis Taka Oji, le prince des faucons du Pic Hateshinai. Et toi tu es?"

-"Je suis Uteko Girachi, le fils de Yamato et je suis un Chuunin du village de Kumo."

Les années qui suivirent cette première rencontre ne firent que renforcer les liens tissés entre les deux jeunes gens. Girachi rendu de plus en plus visite à son nouvel ami du Pic Hateshinai. Il passa un pacte pour pouvoir invoquer les faucons dans n'importe qu'elle situation et ainsi quérir leur aide. Avec le temps, Girachi devient assez puissant pour invoquer un Oji qui lui aussi avait grandit pour atteindre la taille d'un bâtiment d'une hauteur assez conséquente. La relation que le jeune homme avait avec ses créatures était tel que l'on donna le surnom de Mōkin kaminari (le rapace de la foudre). La légende fut bientôt lancée vers sa destinée.

Fin du chapitre 1.

Voilà les enfants c'est finis pour aujourd'hui. Prenez soin de vous et surtout racontez bien cette histoire autour de vous. Que le Godaime reste à jamais dans vos mémoires.

Ok c'est bon, fais en bon usage