Naruto RPG
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 [...] La torture [...]

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MessageSujet: [...] La torture [...]   [...] La torture [...] Icon_minitimeMar 2 Fév 2010 - 9:51

Je venais de le mettre KO. J'allai donc avec le corps inerte du prisonnier à la police d'Oto pour leur livrer le prisonnier, tel une brebis qui s'était égaré. Quand ce fut fait, j'allai à l'hôpital d'Oto pour panser mes plaies... Je me dirigeai donc vers la grande battisse d'Oto pour me faire soigner de mes multiples plaies et de ma grave blessure à l'épaule. Je ne sentais même plus mon épaule gauche, j'avais le sentiment qu'elle était complètement cassée. J'avais quelques difficultés à marcher mais cette douleur, j'arrivai à la supporter. J'arrivai enfin à l'hôpital. Quand je rentrai, une infirmière accourut vers moi et m'aida à marcher jusqu'en salle d'opération. J'allai d'abord être diagnostiqué par le médecin. Je savais au fond de moi que l'opération serait inévitable. Un médecin, sa blouse à la main et avec quelques instruments arriva. Il me salua, et j'essayai de faire de même car la douleur devenait insoutenable. Il m'observa attentivement, puis au bout de quelques secondes, il me dit:

Bon, bon... Je préfère être franc avec toi... Tu as une douzaine de fractures à l'épaule et il sera très difficile de t'opérer. Mais si nous y arrivons, tout sera comme neuf! Nous allons te donner un petit somnifère, et quand il fera effet, nous t'opérerons!

Puis le docteur me donna un petit cachet que j'avalai avec un petit vers d'eau, et quand ce fut fait, je m'allongeai. Je n'eus pas à attendre longtemps car je m'endormis rapidement...

[...]

Je me réveillai, je ne savais pas combien de temps j'avais dormis, si l'opération avait réussi, je ne savais rien, et cela me hantait de peur. Je reprenais peu à peu mes esprits et j'analysai la pièce dans laquelle j'étais. J'étais dans une pièce sombre, avec une petite lumière qui me permettait de voir une armoire au fond où j'aperçus un bout de mes vêtements. Mon lit grinçait à chaque mouvement que j'effectuai. Puis je m'attardai sur ma table de chevet. On m'avait amené des chocolats, un petit cadeau et un plateau repas, surement fournis pas l'hôpital. Je commençais doucement à le déguster quand le docteur rentra dans la chambre. Je le saluai puis il me dit:

-Comment te sens-tu?

-Je vais très bien!


-Et bien, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle: la bonne est que toutes vos blessures se sont guéris. La mauvaise est que vous n'aurez pas le temps de vous reposer, on vient de vous affecter une mission!

-Et vous ne savez pas en quoi cette mission consiste?

-Bien sur que si, vous devez assister à la torture du prisonnier que vous avez brillamment et vaillamment arrêté. La torture commence demain matin, vous pouvez rentrer chez vous!

Je le remerciai et me levai de mon lit. J'enlevai ma camisole de malade pour me diriger vers l'armoire et prendre mes habits. Je les enfilai rapidement et je partais de cette chambre. Dans les couloirs étroits, j'entendis des cris, des pleurs, du bruit et de l'agitation. J'étais très heureux de quitter cet endroit qui me donnait tant de tristesse. Je ne savais pas quelle heure il était mais un soleil radieux régnait en maitre dans le ciel d'Oto. Le problème était que je ne pouvais pas aller me promener car le docteur m'avait demandé de me reposer car demain je repartais en mission. Cette mission serait simple car je n'avais qu'à regarder un prisonnier se faire torturer et faire un rapport avec toutes les informations concernant Iwa. Je rentrai donc chez moi en passant par des rues très fréquentées. D'ordinaire, j'aurais pris des routes plus petites mais je n'étais pas de taille à combattre aujourd'hui. Quand je fus chez moi, je vis une lettre pour moi. Je l'ouvris et je puis lire:

SHISUI AKANO : Mission de rang C: Tu dois assister à la torture du prisonnier Iwajin que tu as capturé la veille. Dans ta mission la torture durera au moins 3jours avant que le prisonnier n'avoue quoi que ce soit ! Tu dois ensuite reformuler tout en un rapport avec toutes les informations demandées à savoir : Construction du village, types de batimens, disposition des batiments, Ninjas actif/non actif, les différents ninjas et grade jusqu'au Kage. Les informations doivent être réel et donc doivent se référer au forum.

Cette mission m'enchantait quelque peu car j'allai pouvoir voir la personne avec qui j'avais livré un combat sans merci se faire torturer devant mes yeux. Je m'imaginai déjà le voir souffrir avec de terribles choses. Le seul soucis de cette mission était que je devais rester fort psychologiquement. J'allai assister à des choses horribles, mais je me devais de rester fort. Quand je fus chez moi, je m'allongeai dans mon lit et je m'endormis alors qu'il n'était que quatre heures de l'après-midi.

[...]

Dans le monde, nous rencontrons constamment des querelles politiques, qui conduisent, comme tout le monde le sait, à des guerres impitoyables, donc à la mort et tout ses affluents : la haine, le sang, la peur... J'avoue que je suis très pessimiste mais c'est parce que la vie est pessimiste mais elle vaut quand même le coup d'être vécue parce qu'il y a des sensations que tu ne pourrais jamais ressentir. En ce moment, il m'arrivait de penser à ce qu'il se passe quand on est mort. J'ai beau chercher pendant des heures, la réponse ne vient jamais. Il doit bien y avoir une explication logique. Je fus sorti de mes pensées car j'entendis un "bip" sonore. Mon réveil venait de sonner. Je quittai donc le monde des pensées pour me consacrer à ma vie réelle. Je me levai donc péniblement de mon lit car j'adorais dormir, et je me dirigeai donc vers mon canapé pour m'allonger, cela m'aidait à me réveiller. Tout en parant vers mon petit canapé, je m'étirai pour éviter, qu'une fois sur le canapé, je me rendorme. Arrivé sur le canapé, je m'allongeai tout en regardant par ma grande fenêtres, les rues qui commençaient à se remplir de personnes allant faire leurs cours, ou vaquer à leur occupation. Tout les matin, j'avais droit à ce spectacle et je ne m'en lassai jamais. Après m'être complètement réveiller, je me dirigeai donc vers mon placard pour prendre un petit repas rapide. Quand j'ouvris le placard, j'eus la désagréable surprise de voir qu'il était vide. Je m'habillai donc avec ma tunique habituelle et partit dehors trouver un restaurant ouvert où je pourrais déjeuner...

Je pris donc le chemin de ma porte et quittai ma modeste demeure. Je marchai dans les rues en pleine agitation. J'entendais des "bonjours" et autre signe de respect venir à mon encontre. Après quelques minutes de marche, je trouvai un restaurant sympathique et bon marché dans lequel je pouvais manger quelque chose de bon. Je rentrai dans ce restaurant et pus voir un monde illuminé et merveilleux s'ouvrir à moi. Il était désert et je fus accueillis par quatre serveurs qui me traitèrent avec respect, comme si j'avais été leur Rizukage. Je me mis à une petite table et on me donna rapidement une carte avec pleins de choses à manger. je commandais donc une bouteille de saké et quelques nems, accompagnés de légumes à la vapeur. Je donnai ma commande au serveur puis il partit comme il était revenu, l'air souriant. Quelques minutes plus tard, je fus comblé: mon plat avait été apporté et c'était un vrai délice. Je m'étais promis de leur demander la recette car même moi, qui est un fou de cuisine, avait réussi à faire les nems et les légumes aussi bien. Je dégustai cela avec plaisir et après chaque bouchée, une sensation de joie et de chaleur s'introduisait bizarrement en moi. je buvais en même temps du saké, puis je partis en payant une modique somme mais avec un sourire épanouie. Quand je sortis, quelqu'un m'attendait devant la porte et me dit:

Bonjour Shisui, tu te rétablis bien? Je viens te voir car la torture commence dans une demi-heure et que tu dois y participer!

Merci, je vais très bien! Je m'en allai justement pour la torture!


Je partis donc avec le Juunin,qui était venu me prévenir que la torture commençait, vers le domaine du Rizukage pour assister dans une pièce à la torture du prisonnier que j'avais combattu durement. Il allait payer, c'était sur! J'allai sûrement prendre un plaisir fou à assister à cela mais en même temps, j'avais peu que la torture devienne insoutenable pour lui et psychologiquement très dure pour moi. Je rentrai donc avec le Juunin dans le domaine de notre bon Orochimaru tout en saluant les ninjas que je croisais. En retour, je recevais des tapes amicales et des encouragements. Mon cœur s'amplifiait de joie après chaque personne. Puis nous arrivâmes dans un petit couloir étroit, devenu désert tout à coup. Au fond, il y avait une porte isolé et blindé. Les murs étaient beaucoup plus gros dans ce couloir. Après une marche de quelques mètres nous fûmes devant la porte et le senseï repartit. J'était donc seul devant la porte et je toquai. Étant donné l'épaisseur de la porte, il était normal que les personnes présentes à l'intérieur ne m'entendaient pas. Je sortis donc un de mes kunaïs et frappait avec toute ma force avec. Puis je vis la porte s'ouvrir, la personne me salua et me fit signe d'entrer. J'arrivai donc dans une pièce où je distinguai plusieurs personnes: il y avait deux ninjas spécialistes de la torture, le prisonnier, un senseï qui m'aidait dans mon rapport et moi-même. Le prisonnier, en me voyant, me fixa des yeux et je fis de même. J"'entendis une phrase disant qu'il voulait ma mort et je rigolais à l'idée de le voir souffrir. On le fit taire et la torture commença... Le bourreau s'adressa au prisonnier:

-Dis moi tout sur Iwa, et je ne te frapperais pas!

Je ne céderais jamais de toute façon!


Le garde lui donna donc plusieurs coup de fouet des marques rouges apparurent rapidement sur son torse nu. Le garde approcha sa tête à quelques centimètres de celle du prisonnier et s'apprêtait à parler quand celui-ci lui crachai violemment au visage. Les deux bourreaux s'acharnèrent avec des fouets sur le prisonnier qui criait de toutes ses forces mais qui n'avait toujours pas l'intention de parler... La matinée défilait et le prisonnier ne voulait pas parler. Alors les bourreaux s'arrêtèrent, le prisonnier dut penser qu'il avait perdu espoir, mais enfaite, il cherchait une nouvelle méthode de torture. Alors, contre toute attente, l'un des bourreaux sortit une plume et commençait doucement à caresser le dessous du pied du prisonnier. Celui-ci se mit à rigoler et gémissant pour que l'on arrête la torture. Alors le bourreau arrêta et dit:

-Alors, dis moi des choses sur Iwa!


Je ne sais rien, et même si je savais quelque chose, je ne vous le dirais pas!


La torture continua mais le prisonnier n'avoua rien. La journée se termina rapidement alors je rentrai chez moi. Je ne pris même pas le temps de manger car j'étais faible et fatigué, j'allai juste me coucher...

[...]

La sécurité est omniprésente dans note monde. Nous vivons maintenant dans un monde rempli de guerres et de haine et sans sécurité, où les plus puissants commandent leur pions pour assurer leur propre sécurité en faisant tuer de simples ninjas qui n'avaient rien demandé. je fus dérangé par ma pensée philosophique car les premiers rayons du soleil commençaient à parvenir à travers ma grande vitre jusqu'à moi. Une sensation délicate de chaleur et de tendresse s'empara de moi tout à coup. L'idée de me lever s'effaça totalement de mon esprit pendant un léger instant et je restai là, comme cloué par une force mystérieuse, à recevoir une touche de chaleur qui amplifiait mon cœur et le reste de mon corps de joie. Au bout d'un certain temps, je pris le dessus et décidai de me lever de mon lit. Je m'étirai, je faisais ce geste matinal tout les jours. Puis quand ce fut fait, je me dirigeai dans ma pièce à vivre. La chaleur du soleil et les rayons qui l'accompagnait avaient pris possession de ma maison et je sentais que ma journée allait être très gaie. Je partais en direction de ma petite cuisine pour me préparer un petit déjeuner équilibré pour être en pleine forme pour la journée. J'avais envi d'un vrai déjeuner alors je sortis de mon placard:Un bol de riz, un bol de soupe miso, un filet de saumon grillé avec la peau, des légumes japonais marinés et du thé vert. Je prenais donc mon temps pour avaler mon petit-déjeuner, très complet pour une fois. Quand ce fut fait, je me dirigeai dans ma chambre pour m'habiller avec mes habits quotidiens. je pris donc un long maillot noir, une veste blanche, un pantalon et de longues bottes noires. Ce soleil, imposant depuis le matin, avait subitement disparu pour laisser place à une pluie battante. Je pris donc le chemin du domaine du Rizulage pour assister à la deuxième séance de torture. Je me dépêchai car la pluie s'intensifiait et je commençais à être vraiment trempé. J'arrivai donc dans le domaine d'Orochimaru et je pris le même chemin qu'hier pour arriver à la salle de torture. Je rentrai cette fois sans frapper et il y avait déjà les mêmes personnes qu'hier. Le prisonnier, quand à lui, était beaucoup plus faible qu'à notre précédente séance et j'avais la nette impression qu'il allait nous dire quelque chose, j'en était sur. Je me trompais: la journée commençait avec la même torture qu'hier, la plume mais celle-ci fut rapidement inutile. Mais je savais que les bourreaux avaient d'autres choses en réserve. Alors ils mirent un CD dans le poste radio et une musique douce et très répétitive, une chanson énervante. Puis nous quittâmes tous la pièce pendant une heure, mais le paure homme ne cédait toujours pas et les bourreaux commençaient à s'énerver quelque peu. Durant toute la journée, les bourreaux sont passés par la privation de sommeil, l'obligation de rester continuellement debout ou l'exposition permanente au froid ou à la faim. Mais le prisonnier n'avoua rien et nous dûmes repartir chez nous. Une troisième journée de torture nous attendait donc...

[...]

La vie est remplie de querelles incessantes et de luttes pour les pouvoirs. Cela conduit le plus souvent à des guerres impitoyables qui engendrent souvent la mort. Ma dernière expérience de ce type remonte à la guerre contre Kiri. Nous avions livré toutes ses forces dans la bataille mais nous avions réussi à les empêcher de rentrer. Toute cette guerre était à cause de la hiérarchie qui n’avait eu aucun remords à envoyer à la guerre des shinobis, expérimentés ou non, sur le champ de bataille. Personnellement, cette guerre m’avait endurcie, elle m’avait rendu plus fort. J’espérai bientôt devenir Juunin. Je voulais servir mon pays et mon village car j’avais trouvé la véritable mission d’un shinobi : se sacrifier pour protéger son village. Mon village est tout pour moi et je ne laisserai rien, ni personne le détruire. Tel est mon nindo… Je fus tiré de mes pensées par le roucoulement d’une hirondelle qui s’entendait même avec les murs de ma modeste demeure. Je repensais encore à tout à l’heure. Alors je me levai pour prendre mon petit déjeuner. Il était composé comme à son habitude de ramens en boite et d'un verre de boissons vitaminés. Même si c'était un petit déjeuner léger, cela me suffisait et j'étais heureux de le manger. Au bout d'un petit quart d'heure,j'eus finis mon festin et je sortis de ma chambre. Quand j'arrivai dehors, une pluie battante frappait les toits avec un bruit sourd. Au bout de quelques minutes, ma veste de ninja qui me protégeait de la pluie était trempé. J'allai donc en direction du bureau du Rizukage pour, j'espérai, la dernière séance de torture. Je fis donc le chemin comme pendant ces deux derniers jours. J'entrai mais je n'eus pas à m'ennuyer pendant bien longtemps, le prisonnier était à l'agonie et il cracha le morceau. Il dit tout pendant plus d'une demi heure puis je partis dans un endroit calme pour rédiger mon rapport:

Salutations,
Leur Kage est un prénommé Saï. C'est un ancien ninja de Konoha qui est partit pour ensuite devenir notre Kage. Il a fait parti autrefois de l'association, La Racine. Elle était dirigée par un certain Danzô, ils ont avec lui 17 ninjas dont 7 inactifs.Il y a 14 Genins et 3 Chuunins. C'est donc un pays en position de faiblesse par rapport à nous. Pour les bâtiments, le Domaine du Tsuchikage et fortifié et protégé constamment. Le village est relié par des rues assez grandes pour recevoir des combats et des troupes armées. Nous pouvons arriver, nous Otojins, par les Montagnes de Tsuchi où nous avons une bonne vu mais où nous serions à découvert, cet endroit étant parfait pour un appât. Nous pouvons aussi passer par les Vallées Rocailleuses, mais le chemin sera plus long. Nous ne verrions que très peu le village mais nous serions couvert.


J'allai donc remettre ce rapport au Rizukage...



Dernière édition par Shisui Akano le Mer 3 Fév 2010 - 19:58, édité 1 fois
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Sabaku no Gaara
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MessageSujet: Re: [...] La torture [...]   [...] La torture [...] Icon_minitimeMer 3 Fév 2010 - 17:46

Bon RP pour une mission de rang C !

Rajoutes 10 points d'expérience et 7 en bonus !
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