[...]L'arrestation[...]

Invité

SHISUI AKANO : Mission de rang C : Un ninja prisonnier à Oto s'est évadé et va probablement tenter de retourner au village de Iwa. Intercepter le , et ramenez le SANS LE TUER, à sa prison avant qu'il ne franchisse les rizières. Il doit être torturé par une équipe afin de révéler des secret sur son Village ... Attention c'est un Chuunin, même affaibli par ses années d'emprisonnements, il saura se défendre ...
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Le monde est peuplé d'hommes admirables dont la plupart sont corrompues à cause du pouvoir. Ces gens que nous trouvions si admirable au début, deviennent corrompus et ne veulent qu'une chose: le pouvoir. Je ne connais aucune personne n'ayant pas de soif de pouvoir, c'est humain. Il n'y a pas que les hommes politiques qui sont comme cela. Nous, les ninjas, sommes pareils. La différence est que nous réglons nos problèmes à travers des combats sanglants. Les hommes politiques les envoient en prison. Il faut maintenant savoir lequel des deux châtiments est le mieux. A mon avis, je préférais la mort, car la prison est un autre univers : un univers où chacun ne pense qu'à lui. J'étais enfouis dans mes pensées tout en buvant une bonne tasse de thé à la menthe. La menthe avait la faculté de rafraichir le corps, tout en laissent une impression de chaleur si particulière. Quand ma tasse fut terminée, j'allai en préparer un autre en pensant à ma mission que l'on m'avait apporté hier. Aujourd'hui, je devais aller retrouver un prisonnier d'Oto qui venait de s'échapper. C'est pourquoi j'étais à trois heures du matin devant ma fenêtre où je ne voyais rien à cause de l'obscurité. Je ne regardais pas par la fenêtre parce qu'il y avait quelque chose à voir mais plutôt pas habitude. Je faisais cela tout les matins et je continuerais à le faire tant que j'habiterais ici. Je déposai donc ma tasse de thé sur l'évier et sortis en direction des Rizières.

Malgré l'heure plus que matinale, il faisait assez doux et la lune dominait le ciel avec ses subordonnées: les étoiles. Il y avait plus d'un milliers d'étoiles dans le ciel. Elle était plus au moins grosse et plus ou moins brillante. Cela présageait quelque chose de bon: il ferait beau aujourd'hui. Je me dirigeai donc, la tête dans le brouillard, vers les Rizières. J'avais choisi ce point stratégique que sont les Rizières car c'est là que se situe la porte qui permet de sortir d'Oto. Mais comme tout bon plan, il y avait une faille: si je loupais mon coup, l'ennemi quitterait le village et je n'aurais plus le droit de l'attaquer ou de le capturer. Ce prisonnier devait de plus être livré à la police d'Oto pour être torturé. Cette torture aurait pour but de le faire parler au sujet d'Iwa. Il m'arrivait que très rarement de sortir la nuit à Oto. Il y avait deux raisons: la première était que, comme toute personne normalement constituée, je dors la nuit. La seconde raison est qu'Oto n'est pas très sur la nuit. Je n'eus pas à attendre bien longtemps pour confirmer ce que je pensais. A un coin de rue, quelqu'un m'agrippa par le col et me fit voler contre le mur. Je pris quelques minutes pour reprendre mes esprits. J'allai me relever quand il me souleva du sol et essaya de me repousser contre un mur. Cette fois-ci, j'interceptais ces mains à quelques centimètres de moi, puis je lui fis une clef de bras. Il gémissait et me suppliait d'arrêter. Pourtant, je n'arrêtais pas et cette situation me procurait une sensation de plaisir. Alors je continuais à le faire mais plus fort et il gémissait de plus belle. Quand je sentis son bras se casser petit à petit, je lui donnai un coup de pied dans l'abdomen et plusieurs coups de poings au visage. Il vola contre le mur, ne pouvant plus combattre: il était KO. Ce combat m'avait mis hors de moi. J'avais maintenant envie de me défouler. Cette mission tombait donc à pic pour moi. Le bandit qui m'avait attaqué venait surement de regretter son acte. Je me dirigeai donc vers les Rizières. J'y fus vers cinq heures du matin. Les premiers rayons du soleil commençaient à trépasser dans la nuit. Un paysage fabuleux s'offrait à moi. J'en profitai pour m'évader un clair instant dans un univers où tout est magnifique, où il n'y a aucune guerre. Puis le bruit d'un coq me ramenait au monde réel. Il me fallait créer un petit piège pour accueillir notre invité qui s'était évadé de sa maison, j'avais l'intention de lui indiquer le chemin. Je posai quelques parchemins explosifs au sol, pour faire des mines. Il n'aurait qu'à poser le pied dessus et ce serait un fabuleux spectacle. Je ne devais pas le tuer alors je les enfouissais profondément pour ne faire qu'une blessure légère. Quand ce fut fait, j'allai me cacher dans les Rizières...

Il faisait froid malgré les rayons du soleil qui parvenaient jusqu'à moi. Il n'arrivait pas à me réchauffer car le froid avait pris un avantage considérable sur moi. Mes mouvements étaient saccadés à cause de ce froid et je n'étais pas assez concentré car je cherchai un moyen de me réchauffer. Ma distraction m'avait fait commettre une erreur. Le prisonnier marchait tranquillement vers la porte et mais il fut ralentie par une explosion qui le propulsa au sol. Quand il reprit ses esprits, j'étais devant lui. Je le regardai droit dans les yeux et ce fut ma deuxième erreur. Le prisonnier, vêtu de sa camisole de bagnard, me fit une balayette qui me fit tomber dans les irrigations des rizières. J'étais trempé de la tête aux pieds et le prisonnier commençait à s'enfuir. Il me fallait agir vite, alors je sortis un kunaï et visa le sol juste devant lui car j'avais posé une mine à cette endroit et le bagnard fut de nouveau projeté au sol. La colère et la haine se mirent à déformer son visage et il se releva très rapidement pour foncer vers moi. Le prisonnier sortit un katana, tout en fonçant vers moi. Il fit de grands gestes avec ce katana pour essayer de me toucher mais j'esquivai avec allégresse tout ces coups. Quand il était à deux doigts de me toucher, j'utilisai mon kunaï mais ce fut de plus en plus difficile à cause du froid et il finit pas me toucher à l'épaule gauche. La colère et la haine s'emparèrent enfin de mon visage et je lui enlevai son katana à l'aide d'un coup de pied rageur. Puis je l'assénai de coups de pied et de coups de poings d'une puissance folle. Je déversais tout ma haine contre lui. Puis je lui envoyai un coup de pied encore plus fort que ceux donner précédemment et il vola au sol. Il se releva et avait repris son katana et se mit à courir vers moi. Je ne le vis pas tout de suite car je reprenais mes esprits et il me donna un violent coup de poing qui me fit voler à terre. Il venait de me briser la mâchoire, mais lui avait perdu plusieurs dents. Il était juste à ma hauteur avec son katana, et il allait me transpercer. Alors je me dépêchai de faire des mudras pendant qu'il récupérait et je lui lançai des dizaines de cendres au visage. Ces cendres l'aveuglèrent pendant un cours instant et je lui donnai un coup de pied pour l'écarter de moi et don pour éviter tout risque. Quand il fut à une distance raisonnable, je claquai des dents tant bien que mal à cause de ma mâchoire, et le bagnard prit feu au visage. Il se dépêchait donc d'aller à une irrigation d'eau pour sauver sa peau. Il n'était plus concentré sur moi alors je fis des mudras et il fut secoué par un séisme d'une puissance démentielle. J'avais mis toute ma haine dans cette attaque. Je venais de le mettre KO. J'allai donc avec le corps inerte du prisonnier à la police d'Oto pour leur livrer le prisonnier, tel une brebis qui s'était égaré. Quand ce fut fait, j'allai à l'hôpital d'Oto pour panser mes plaies...

Sujet: Re: [...]L'arrestation[...] Sam 30 Jan 2010 - 20:31

Bon çà ! J'ai apprécié ton texte !
J'aurais cependant apprécié voir un peu de jutsu venant de ton ennemi et un bon 10 lignes de combat supplémentaire, mais sinon c'était bien alors je te met un bon 9pts sur 10 !
Tu peux les rajouter à ton expérience ^^