Naruto RPG
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 Ouvre l'oeil.

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MessageSujet: Ouvre l'oeil.   Ouvre l'oeil. Icon_minitimeMar 2 Mar 2010 - 0:21

« Jin ? Monsieur Jin ? Un changement de bandages, c’est bien ça ? Passez à la salle de consultations, je vous prie. »

La salle de consultation, en vérité, n’en était pas une, juste un petit espace, séparé du reste de la salle par un rideau. Il y avait dix de ces salles, et donc dix files en tout… La pauvreté du pays était on ne peut mieux illustrée en ce hall immense, qui faisait office d’hôpital pour tout le village. A l’intérieur, il faisait une chaleur torride, qui devaient sans doute achever tous les fragiles de la pièce qui étaient tenus, pendant de longues heures, de rester debout à attendre l’appel de leur nom. Sur les dix files, cinq étaient fichtrement plus abondantes que d’autres, celles-là servaient pour le peuple du village, car si celui-ci était d’abord un village constitué de ninjas, il y avait aussi des femmes et leur progéniture. Eux devaient subir leur inutilité dans le village, tandis qu’une file seulement était réservée aux plus riches du village, ou plutôt aux moins pauvres et entre autres là ou Dosu allait quand il n’était encore qu’un citoyen, ils avaient droit à des sièges plus ou moins confortables.

Les quatre dernières étaient réservées à la population ninja qui avaient chacune deux immenses bancs ou le ninja du son était assis depuis déjà trois heures, attendant un tour qui ne venait pas. Ses os semblaient lui faire de plus en plus mal à chaque nom prononcés par une doctoresse aux mains tachées de sang. Il retenait des gémissements tandis que la salle était envahie par une multitude de voix incompréhensibles tant elles se mélangeaient.

Sa tête était baissée vers ses jambes, serrant les poings pour retenir un hurlement de douleur. Durant sa dernière mission de rang C, il avait été frappé durement par derrière par ce qui semblerait être un big-foot, ce qui avait lourdement endommagé ses os déjà fragiles.
Mais ce qui le rendit dans cet état, ce fut ce qui l’eut sauvé, une pilule militaire qui avait repoussé les limites de son organisme. Pour un homme normal, ce n’était que quelques engourdissements, mais pour quelqu’un dont les os devenaient de verre, il s’agissait là de la pire des tortures quand cela n’était pas traité.


« Dosu Kinuta ? »


Dosu se leva péniblement mais d’un pas pressé et avança vers la soignante.


« C’est pour un traitement des os, c’est bien cela ? »


Après avoir acquiescé, il fut conduit dans la salle de consultation, ou il y avait un lit…
Et c’est là, une vingtaine de minutes plus tard, alors que Dosu était couché sur le ventre, torse nu, l’infirmière lui appliquant une crème sur tout le corps, qu’une voix imposante retentit dans tout le hall. Il était certes séparé de cette voix par un rideau, mais il pouvait aisément entendre l’Hérault clamer son annonce.


« Aujourd’hui, le Rizukage, Orochimaru a rencontré et a discuté avec un membre de l’Akatsuki. De là, ils ont conclu un pacte. Le village d’Oto et l’Akatsuki sont officiellement à compter de ce jour, alliés. »


Un tumulte de voix jaillit du hall, beaucoup de cris de joie, quelques exclamations dubitatives mais la seule voix qui semblait choquée, c’était la sienne. Comment le seigneur Orochimaru pouvait-il conclure un pacte avec ces brigands trop ambitieux. Tous savaient en ce bas monde, qu’il s’agit là d’une organisation manipulatrice, aux ambitions mystérieuses, discuter avec eux n’était jamais bon…
Kinuta Dosu se leva précipitamment et remit prestement ses bandages. Tous ses sens semblaient faussés. Il ne sentait plus la douleur parsemant ses muscles et ses os. Il n’entendait plus le cri des foules, les pleures des femmes et les protestations de l’infirmière qui n’avait pas encore terminée son œuvre. Mais sa rage avait eu raison de tout mal en lui.
Il s’en alla au pas de course et se dirigea vers le manoir souterrain du Rizukage. Il n’y avait rien à gagner et tout à perdre à coopérer avec eux, et même si cela n’est pas très conventionnel, il se devait de demander des explications à celui qui avait été une sorte de précepteur spirituel.

Orochimaru lui avait offert ce don, un amplificateur qui se mariait parfaitement avec son esprit cruel. Et c’était à lui qu’il avait confié une mission à Konoha avec cinq autres ninjas, Kin, Zaku, Kabuto et deux autres bouffons. Et à part Kabuto, le protégé du Rizukage, il était le seul rescapé… Certes, Orochimaru s’était servi de Dosu pour tester Sasuke… Il était prêt à tout pour arriver à ses fins, et avait toujours quelque chose derrière la tête.


« Ninja Dosu ? »


La voix de fausset qui l’appelait ne le tira pas tout de suite de sa réflexion, mais il comprit ou il était actuellement, le hall d’entrée, là ou on distribuait les missions aux ninjas.


« Bien sûr… Cela doit être ça… Il a quelque chose derrière la tête, c’est certain. Il va tirer à soi toute la gloire, la fortune et la puissance que l’Akatsuki et Oto vont accumuler… Il fera resplendir le pays des Rizières. »


« On ne vous attendait pas si tôt. N’aviez-vous pas une permission ? »


Si, il en avait une, mais elle n’avait plus raison d’être maintenant qu’il ne ressentait plus rien. Et comment pourrait-il expliquer sa présence ici, sinon pour recevoir une nouvelle mission. S’il parlait des doutes qu’il eut à cet homme, ou s’il partait, Orochimaru serait sans doute informé… Ce qui était évidement une bêtise, mais Dosu ne pouvait que voir le mal partout.


« Je…. Je suis apte à remplir une mission. »


« Je vois… »


L’homme disparu alors dans l’arrière-salle et en sortit après quelques secondes.


« Le Rizukage vous a expressément désigné une mission en vue de votre état. »


Cette phrase fut un choc, allait-il encore perdre du gallon ? Alors qu’il était déjà au plus bas de la hiérarchie. Le responsable des missions donna un petit parchemin à Dosu qui s’empressa de le lire… Une mission au sein du village. Il se souvenait encore de ce qu’il avait souhaité après avoir abattu la bête. Une mission d’assassinat, de menace, de torture. Et qu’avait-il là ? Tout cela réuni…

Exterminer un gang, les écarteler, qu’il ne reste plus aucun survivant. Et que cela serve de mise en garde aux autres bandes, pour qu’ils soient dégoutés de faire leurs lois dans certains quartiers… La dernière phrase en particulier réjouissait Dosu, « Fais-toi plaisir ».
Le ninja sortit du manoir, un sourire aux lèvres, et dit d’une façon des plus audibles.


« Mais mon maître, comptez là-dessus. Vous prenez un bien grand risque en me demandant cela, je risque de le prendre à la lettre. »

Et partant dans un éclat de rire, il se dirigea vers sa demeure. Le noir total de son petit appartement lui fit le plus grand bien. Il était comme caché et n’avait plus cette sensation d’être toujours scruté, jaugé, suivi.


« Maître Orochimaru a du reconnaître ma valeur pour me confier une telle mission… La menace, c’est là que je me plais, c’est là que je triomphe… Il ne sera pas déçu. »


Dosu prit un sac à dos et y mit trois moulins d’ombre, de l’huile en bonne quantité, une boite d’allumettes, une trentaine de kunais et une autre trentaine de shurikens, six vis qu’il avait trouvé ici et là, une corde solide, il accrocha au sac à dos une barre de fer et mit une dizaine de kunais en plus dans son étui à armes de lancer. Il ne lui manquait plus qu’une chose, et cela il savait ou en trouver. Le mur le plus proche était celui de l’Ouest, aussi il s’y dirigea en espérant ne pas être interrompu avant de commettre son délit mineur. Là bas, il escalada un des murs et prit une dizaine de mètres de barbelés, posés là pour empêcher les ninjas de passer par autre part que par les portes. Il avait les outils, mais il lui fallait des renseignements sur l’emplacement de « Boo », la partie des missions qu’il aimait le moins. Mais pour ce genre d’informations, il avait bien quelque chose…

Dans un bar presque vide, où les fréquentations ne pouvaient être que grotesques et sales, une odeur non identifiée flottant dans l’air, un petit morceau country essayant en vain de réjouir la salle, Dosu entra sans surprise de voir un tel lieu délabré, il s’approcha du bar ou régnait un homme barbu et ivre.


« Le môme momifiée. Ah, ça fait plaisir de te voir. Tu veux boire quoi, de la bière froide comme toujours ? »


« Sers-moi ce que t’as, Aku. »


« Alors ce sera de la bière froide, qu’est-ce qui t’amène sinon l’envie de voir ton barman préféré ? »


En vérité, Aku était l’un des rares civiles qui n’avait pas peur de Dosu, et pour cause parce que ce dernier lui devait quelque chose et le respectait. Il n’était pas des Rizières, mais du village caché d’Iwa, où il pratiquait du marché noir, et alors qu’il avait été contraint de fuir le village caché de la roche, il croisa Dosu presque mort. Celui-ci rentrait de Konoha, après s’être fait écrasé par Ichibi. Il l’avait soigné et si le ninja du son était vivant, c’était uniquement grâce à lui.
Mais Aku était resté un homme de rumeur, qui sait répandre des mensonges, et qui se renseigne sur tout, mais il était surtout l’indicateur de Dosu, ayant malgré tout un humour douteux.


« Boo… Ca te dit quelque chose ? »


« En tout cas ça me fait pas peur… »


« Idiot… C’est un gang de caïd qui fait sa loi dans les quartiers… »


« T’es le quatrième à être envoyé pour eux… Les deux premiers ne les ont même pas trouvés, tandis que le troisième, un genin, leur est tombé dessus et n’est jamais revenu. »


« Justement, c’était qu’un Genin… Me fais pas attendre… »


« Ah… Désolé, je sais pas ou se trouve le clan… Mais le vendeur d’armes ninjas à quelques maisons d’ici. Parait qu’il est le fournisseur, j’ai entendu dire qu’ils font croire aux quartiers qu’ils font ça sous les ordres d’Orochimaru. »


« Merci, Aku. »


Dosu posa une liasse de billets, l’argent qu’il avait gagné en effectuant sa précédente mission, but la bière d’un trait, et tout en grimaçant parla une dernière fois à son indic’.


« Dégueulasse ta bière… »




Il ne se souvenait de rien… Il ne savait ni quand, ni comment, ni pourquoi… Il ne savait rien. Cela faisait déjà quelques heures que Monsieur Yoshi dormait, n’arrivant pas à se réveiller, même ainsi, il sentait une atroce migraine lui ôter toute envie d’ouvrir les yeux. Que s’était-il passé ? La dernière chose dont il se souvenait, c’était de vendre un kunai explosif à un Junin, et de fermer boutique… Bien que… Il y avait un bruit étrange dans la réserve, cela avait attisé sa curiosité et il s’était donc approché.


« Eh, bouboule… »


Cette voix désagréable le réveilla en un sursaut, il était attaché à une chaise, dans une chambre noire et glaciale, la seule lumière de la pièce éclairait une parcelle de terre devant lui, ses mains étaient liées mais rien ne le retenait de parler. Un homme surgit alors de l’ombre pour se mettre dans le faisceau de lumière, qui n’éclairait que son visage. Il était petit et couvert de bandelettes, son seul œil visible semblait être injecté de sang. Il penchait la tête vers le côté, et Yoshi dut bien reconnaître son effroi. Et ce n’est qu’après qu’il aperçu un bandeau frontal du son, c’était un envoyé du Rizukage.


« Alors bouboule, on a pas été sage ? »


« Je… »


Le ninja le frappa du bras droit, mais il ne s’agissait pas d’un poing, c’était bien plus douloureux, provoqué par une plaque de fer.


« Mauvaise réponse, bouboule… Tu n’as pas été sage. »


Monsieur Yoshi était complètement terrifié, et pour ne rien arranger, il avait un désagréable gout de sang dans la bouche et une migraine conséquente. Il aurait tellement voulu tomber dans les pommes, en espérant se réveiller dans son lit.


« Ah, bouboule, j’ai pris deux cure-dents dans ta cuisine, ça te dérange pas j’espère… Si ? Bon ben, je te les rends alors… »


Le ninja lui tendit les deux petits bouts de bois, comme s’il pouvait les prendre.


« Tu les veux pas ? Ah ben, je te les rends quand même. »


Il s’approcha alors de son visage et ouvrit de force ses paupières, il plaça les cure-dents entre les deux paupières, les retenant pour qu’ils l’empêchent de cligner des yeux.

« Il paraît, mais j’y crois pas trop, qu’arrêter de cligner les yeux, ça te… Ca te rend complètement cinglé. »


Le ninja rit alors d’une manière ironique et reprit d’un ton amusé.

« Non mais t’y crois, bouboule ? Tu dis quoi ? »


Yoshi n’avait rien dit, mais déjà, ne pouvant cligner des yeux, il pleurait malgré lui et avait affreusement mal. Le ninja s’approchait pourtant de lui comme s’il s’attendait à recevoir un secret.


« Hum… T’as raison, bouboule, dans le doute, on va tester…C’est toi qui t’y colle. »


Il gémit de plus belle, voulant arrêter ce supplice, il voulait dire quelque chose mais la peur d’une nouvelle torture était une torture en soi.


« Ah ben non, c’est ton idée, c’est toi qui le fais… Bon, c’est pas tout ça mais j’ai soif, tu veux un café ? Ok, je reviens tout de suite. »


L’attente, comme tout le reste, fut atroce, il ne revenait pas… Etait-ce là une consolation, ou sa seule chance de survie qui s’en allait. Mais ce ne fut qu’après une heure, du moins, cela parut très long, que la porte s’ouvrait enfin.


« Ouf, y avait un de ces mondes. Ça m’a prit quinze minutes. »


Alors cela ne faisait que quinze minutes, mais c’était le pire des enfers et chaque seconde semblait une éternité. Il ne le vit pas arriver, mais un café bouillant fut projeté intégralement sur ses yeux ouverts, il hurla cette fois-ci pour de bon, ne se contentant plus de gémissements.


« Quel maladroit je suis… Enfin soit. Il parait que tu fournis des armes à un clan appelé Boo. Dis moi que c’est pas vrai, venant de toi ? Enfin… Ils ont du se tromper… »


Yoshi se mordait les lèvres à une telle force qu’encore plus de sang coulait au sein de sa bouche, il n’osait plus dire la moindre chose, il ne voulait plus que mourir.


« Réponds… »


« Je… Oui, mais je n’ai pas le choix, je… »


« Fait pas bon aujourd’hui, hein ? »


« Laissez moi partir, je vous donnerai tout ce que vous voudrez, pardonnez moi. »


« Te pardonner ? Pour une fadaise pareille, mais c’est déjà fait. Je t’en veux plus du tout, c’est de l’histoire ancienne. »


Cette parole se suivit d’un long rire presque sincère mais effrayant pour celui qui l’écoutait.


« T’inquiètes, je vais pas te tuer. Dis-moi juste où est leur planque. »


« Ils vont me tuer si je le fais… »


Il ne voyait plus le ninja, mais il sentait un regard glacial et meurtrier le traverser de part en part.


« Dans l’auberge de la libellule, dans le centre. »


« Ah ben tu vois quand tu veux… Pff, c’est chiant, y aller en pousse-pousse, ça coute les yeux de la tête, tu peux m’avancer de l’argent ? Non ? Pas grave, à la revoyure. »


Yoshi entendit la porte s’ouvrir, aussi il cria pour retenir l’homme.


« Attendez. »


« Ah… Ecoute, les membres du clan risquent d’arriver, donc ouvre l’œil… »



Ainsi, après ce long entretien avec le marchand d’armes, Dosu quitta la maisonnette abandonnée. Il avait bien assez vu ce gros lard, aussi il pourrait prendre son apparence sans problèmes. Quelques minutes après, il entra dans l’auberge de la libellule, sous l’apparence de Yoshi. Le serveur reconnut directement le fournisseur et l’appela d’un geste de la main.


« T’es en retard. »


Il acquiesça d’un air désolé et fut conduit dans l’arrière boutique, tenant son sac à dos où il y’avait tous les instruments dont il aurait besoin. Avec le serveur, il descendit des escaliers qui les menèrent à une grande pièce grise, remplie d’hommes costauds, pour la plupart armés de sabres, de gourdins. Son arrivée ne fut pas remarquée, aussi celui qui l’accompagnait essaya de parler plus fort que la vingtaine d’hommes.


« Oh les gars, Yoshi est là. »


Mais personne ne semblait entendre, aussi, Dosu tapota l’épaule de l’homme qui le dominait en taille.


« Laissez, je m’en occupe. »


Il sortit un kunai du sac à dos et le planta violement dans le crane de l’homme qui tomba à terre, gisant comme un porc. Dosu rompit la métamorphose et reprit son apparence habituelle. Et tout naturellement, tourna la tête et dit d’une voix presque démoniaque.


« Bouh. »


La multitude d’homme sortit leur arme et menaça Dosu. Ce dernier tira la manche de son bras droit de sa main gauche, ce qui dévoilait son amplificateur, il le déclencha et le mit à pleine puissance. Un son extrêmement aigu et strident envahit la pièce, provoquant les hurlements des hommes, les désarmant, les obligeant à se tenir la tête. Et tout en continuant à faire hurler le son, il assomma chacun des hommes, un à un, faisant bien attention à ne pas les tuer.

Il resta caché dans la salle pendant une semaine entière, à la fois pour attendre ceux qui n’étaient pas présents lors du rassemblement qu’il avait décimé, mais aussi pour préparé ce qu’il avait à faire. Il avait ligoté chacun des hommes, et un à un les avait torturé puis tué d’une manière atroce…

La semaine passée, il eut enfin finie son œuvre. Et lorsque la nuit fut tombée, il exposa vingt-trois cadavres sur la place au centre d’Oto, non loin du Manoir du Rizukage. Mais il manquait quelque chose, quelque chose d’exceptionnel… Ce n’était pas que des meurtres, mais aussi de la torture.

Le jour se leva, les habitants sortirent de chez eux pour entreprendre un dur labeur, et sans doute crièrent, hurlèrent, tournèrent de l’œil, en voyant un spectacle absolument horrible.

Il y avait deux croix au centre du village, et sur ces croix, deux hommes étaient cloués, comme le Christ. Quatre hommes étaient pendus, chaque homme sur une branche horizontale de la croix. Trois autres hommes étaient fixés à un mur, par des moulins d’ombre. Deux hommes étaient totalement défigurés et complètement méconnaissables, comme s’ils eurent été frappé et frappé par un objet. Un gaillard était presque nu, ayant seulement un pagne, et son corps tout entier était recouvert de plaies fraiches, des centaines, comme si son bourreau l’avait sabré doucement et sans intention de le tuer. Un autre était transpercé par une quarantaine de kunais, qui n’avait pas été enlevée.
Cinq étaient mort brulés vif, alors que la terreur semblait encore se lire dans leur expression. Et les cinq derniers étaient en cercle, dans une prison de barbelés, ils avaient sûrement tenté de s’enfuir.

Et planté là, une pancarte, où il était écrit d’une manière lisible par tous :


« Ceci est un message adressé à vous tous, membres de clan. Vous êtes priés d’arrêter toute activité au risque de vous faire écarteler. Je vous remercie. Orochimaru. »


Mais la pire des horreurs, le bouquet final, c’était ce qu’il y avait à l’intérieur du cercle. Un homme, assis sur une chaise, les paupières retenues par des cure-dents. Il ne pleurait pas, en vie, il ne faisait que se parler à lui-même, répétant toujours la même chose.

« J’ouvre l’œil. »
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MessageSujet: Re: Ouvre l'oeil.   Ouvre l'oeil. Icon_minitimeMar 2 Mar 2010 - 3:20

Ah aaaah ca c'est du tout bon Rp ! J'ai l'impression d'y reconnaitre un peu du film "Saw".

Il manquais juste une petit truc, la partie consacrée à la torture était à mon gout un peu trop brève en fait j'aurais souhaité que tu détailles plus la partie " Il avait ligoté chacun des hommes, et un à un les avait torturé puis tué d’une manière atroce… "

Alors je te donne un bon 15 Pts pour ta mission !

A bientôt.
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